jeudi 8 novembre 2007

Sauvez-vous, loin, puis si ça persiste: allez-voir un bon psy

Monsieur Paul de Montréal,

Vous devez comprendre, ici, qu’une vraie cible de « mobbing » est toujours vendue dès la première rencontre. Parfois ça prend vingt-quatre heures avant que la magouille ne corrompe tout l’entourage, mais, le plus souvent, par expérience, la relation est corrompu avant même qu’elle ne débute. L’emprise devant être absolue dans tous les cas. Faut bien le dire : personne ne peut aider un vrai membre ostracisé, qu’importe la communauté où il est attaqué. Que ce soit en Europe, aux É.-U., chez nous, en Amérique latine ou en Australie, c’est partout pareil. Un préjudice insurmontable s’établi envers les cibles de manière à ce que la masse ne puisse les considérer comme de vrais membres du groupe.

Avant de continuer, je vous invite à lire un auteur américain qui sera à Montréal (Kipling William) en juin prochain lors de la sixième conférence sur le harcèlement moral. Le titre de son livre est : « OSTRACISM ». Prenez connaissance de cela et après vous pourrez intervenir sur ce sujet de manière plus consciente et moins blessante.

Je vous réponds sur ce ton parce que, moi monsieur votre intervention, ici, je la trouve injurieuse. C’est bien vrai que la cible est devenue sensible. Vous pouvez en parler à ceux qui connaissent les résilients qui ont survécu au harcèlement moral. Des propos comme les vôtres, ici, sont offensants.

Vous lisant on dirait que c’est l’adversaire qui écrit. Veuillez écoutez pourquoi :

Vous citez mes paroles, sans nullement y faire référence, en commençant avec : « Dans mon cas, pour ne mentionner qu’une différence, le harcèlement a commencé dès mon adolescence »

Pourquoi vous citez ces mots dans votre « intervention » au juste? Pourquoi en mettre certains en caractères gras? Je vais revenir à ces phrases. J’avais répondu cela, car je sentais qu’on mélangeait les bananes avec le caviar à ce moment-là. Les prunes et les oranges. Et cela m’avait dérangé.

Oui, monsieur Paul, tout ça a commencé dans mon adolescence, alors que j’étais encore enfant. Jamais de ma vie je n’aurais pu croire que ces évènements pouvaient être reliés, car c’est totalement impensable pour une personne normale. C’est, comme j’expliquais, la doctrine du harcèlement moral et les caractéristiques des pervers narcissiques qui m’ont montré que cela est possible et même, dans mon cas, fort probable. Alors même que je réalisais mes rêves, mes études notamment, le vieux pervers tissait sa toile dans ma vie privée de maintes manières. Cela s’est poursuivi durant mes études universitaires (18 à 26 ans), puis dans ma pratique privée (26 à 40 ans), chez moi à Delson et pour la suite j’en ai dressé le tableau, brièvement, dans mon témoignage ci-haut.

Vous citez aussi : « Notons ici qu’on m’a attaqué mes actifs bien avant ma personne dans cette affaire. »

Une autre phrase que vous isolez en mettant certains mots en caractères gras, mais pourquoi? Quel rapport avec votre intervention? Vous pouviez m’écrire les mêmes superficialités sans citer cela, Paul. C’est vrai, après recul, qu’elle me porte préjudice cette phrase précise. En fait, cet énoncé, pris dans le temps, est totalement faux. Il est clair que dans mon adolescence c’était uniquement ma personne physique et morale qui était attaquée par le pervers. Mes actifs étant à l’époque ceux de mon père et non les miens. Et le pervers avait, je crois, peur de lui. Mes actifs, Paul, c’est après mon doctorat, bien sûr, et surtout après la mort de mon père en 1996, qu’on les a attaqués. Pour l’illustrer, j’aimerais mentionner un fait que jamais je n’avais compris et qui s’éclaircit aujourd’hui :

Lorsque j’ai terminé mes études en 1988 je m’étais acheté, avant de revenir à Delson, une vieille Jaguar XJ12 couleur bourgogne (un modèle American saloon 1978 avec des roues de broches). Un petit bijou pour lequel j’avais eu, à l’époque, un réel coup de foudre. Je l’avais trouvé à Granby par hasard, bref je me l’étais procuré, pour la somme de12000$. Lorsque je suis arrivé avec ce superbe bolide chez mes parents, avec la certitude de faire plaisir à ma famille, mon père avait eu une réaction : comme si je venais de faire la plus grosse erreur de toute ma vie. La bébelle en question me coutait $273/mois. Rien d’extravagant pour un médecin vétérinaire qui vient de terminer 21 années de scolarité sans interruption! Il m’avait alors mentionné une chose qui me parut totalement bizarre : « Ne dit jamais à monsieur chose (le vieux pervers en question) que tu t’es acheté ça! Si jamais il te demande comment tu as eu cette voiture, tu lui diras que c’est ta tente qui vit en Ontario qui te l’a donné en héritage, OK! » Je ne comprenais pas, en fait je n’avais jamais compris pourquoi il m’avait parlé de cela. Je me disais : qu’est-ce que ça pouvait faire que ce vieux nul sache que je me suis acheté une veille Jag! Je n’ai compris que quinze années plus tard, comme bien d’autres stupidités du même genre d’ailleurs. Mais je m’en foutais totalement de cette personne, pour moi, sans aucune (AUCUNE) importance. Je ne voyais pas du tout ce qu’il avait à voir avec mes choix d’automobile, j’ai donc oublié cet avertissement.

Pire! Par la suite le propriétaire d’une flotte d’hélicoptères de Québec m’avait proposé quelque chose de bien plus rare que ma voiture : une femelle Jaguar (un fauve) qui venait d’Amérique latine! Je l’ai tout de suite acheté : 1100$ (elle pesait 19 livres). C’était un de mes rêves sincères de vivre avec un grand félin comme ça. Un rêve que j’avais avoué à quelques reprises. Et je l’ai eu mon fauve, sur un plat d’argent. Le jeune prodige, fraichement gradué, qui se promenait alors avec son extraordinaire bête racée sur le siège arrière de sa luxuriante voiture britannique de la même espèce. J’arrivais d’un stage dans le désert du Sahel au Mali, en 1988, et j’avais la protection d’un système qui honore et récompense un individu comme moi dans la société. Je faisais beaucoup rouler cette économie si chère à toutes les politiques. Vous voyez un peu le portrait.

Je réalisais, je me souviens, une relation très satisfaisante entre mes rêves et ma réalité. Narcissique moi-même par nécessité, suite au combat que je venais de mener au sein du système de l’éducation de ma province canadienne, on me proposait des rêves, avec la plus belle profession qui soit (selon tous les enfants du monde). La publicité, l’image si importante socialement, le côté rebel juste correct pour ne jamais offenser la véritable autorité. J’étais créatif, poésie, peinture, photographie, piano. J’adorais plus que tout, réellement, la musique. Je commençais ma carrière, en tant qu’individu assez atypique, et je dérangeais beaucoup le petit monde de la Rive-Sud de Montréal. Bien des gens dans ce petit patelin se sont mis à trouver, probablement, que j’étais trop spécial pour la moyenne. Faut avouer que les gens parlaient alors beaucoup de moi. Je vivais à Delson depuis l’âge de trois ans et j’avais du succès, beaucoup de succès! Dans ma tête, même si je savais que ce vieux taré n’aimait pas que je roule avec cette auto, je l’avais loin dans le c… vous comprenez. Personne ne m’a jamais dit, de toute ma vie, quoi faire; personne. Ce n’était pas ce pauvre type qui allait le faire, ça j’en aurais mis ma main au feu! Mais, je me suis trompé.

J’ai toujours fait les choses à ma tête, je n’avais rien à foutre de ces malingres moi, qu’importe leurs statuts, ou leurs revenus. Cependant, jamais je n’aurais douté que des humains pourraient manigancer un complot comme celui dont j’ai été la cible. Ni sur moi, ni sur personne d’autre.

Dans l’année qui a suivie la fin de mes études, en 1989, on m’a attaqué avec une organisation criminelle et un plan, sur mesure pour moi, dans le but de m’anéantir, coute que coute. Une histoire vraiment grave, tellement! que jamais vous ne pourriez vous imaginer ce que ces « bâtards » m’ont patenté comme magouille avec leur coalition. C’est là que le pervers a exécuté son piège avec ses putains et ses bandits, associés aux forces policières, super protégés de surcroit. Cela explique pourquoi « par la suite » on m’ait laissé aller. Le pervers avait décroché sa carte pour continuer à me harceler, comme il l’a fait, toutes ces années. Avec (une fin) en tête.

Je présenterai tous les faits devant les tribunaux si on n’en vient pas à un règlement hors cour.

Pour revenir à votre intervention..., vous rajoutez cette autre citation hors contexte :

« Je ne pouvais gagner nulle part, mais surtout je ne pouvais rien vendre ni m’expatrier à l’étranger. »

Effectivement, je me retrouvais dans un véritable cul-de-sac. Une seule sortie possible dans tous les cas et c’était toujours lui, le dirigent pervers en question, qui la préméditait et la faisait s’exécuter par sa cohue. C’est tellement stupide et évident! On aura de nombreuses situations criminelles à enquêter et des complices, des dizaines, à interroger. Pour l’illustrer, je dirai que le simple fait de remettre les causes magouillées au rôle à Longueuil à l’été 2006 aura été un exploit pour moi. « Je ne pouvais gagner nulle part », ça, c’était plus qu’évident. « Je ne pouvais rien vendre » non plus. La banque, dans laquelle je déposais mes revenus depuis près de 10 ans, m’a effacé dans les ordinateurs, deux semaines avant que je renouvelle mes hypothèques, en septembre 2003. J’avais des centaines de milliers de dollars d’équité et les taux d’intérêt devenaient au plus bas de l’histoire (2% et moins). Les valeurs des résidences, elles, atteignaient alors des sommets. Je venais d’acheter une bâtisse commerciale : le 6030 Route 132 à Ville Sainte-Catherine, quelques mois auparavant, avec un PPE (prêt aux petites entreprises) du gouvernement québécois. Et pendant que je me suis retrouvé enfermé la première fois, juste après avoir produit trente-quatre milles quelques cent dollars dans le mois précédent (pas dans l’année, Paul, dans le mois d’août 2003), on ferme mon compte commercial qui était au nom de l’Hôpital Vétérinaire Marsan inc. […] Paul, même si j’étais mort ça aurait été très long et compliqué de fermer mon compte commercial, tu dois savoir ça, toi.

Non, mais vous ne savez sûrement pas c’est quoi d’être vétérinaire et de produire trente mille piastres par mois! Et, je dois le dire, faire ça pendant quinze années, six jours sur sept, sans que jamais je ne sois accusé d’une seule faute médicale ni chirurgicale, chez toutes les espèces animales, faut le faire! Or j’arrive à « ma Banque », après avoir réussi à sortir de psychiatrie, et la caissière, je m’en souviens, tout mal à l’aise, m’annonce qu’elle ne me trouve plus dans sa banque de données. Elle essaye à mon nom personnel. Puis réessaye avec le nom de mon entreprise, me redemande mes numéros de compte. Niet, plus rien, le docteur Marsan n’existe plus. Imaginez! En plus, la dame était ma cliente. Elle ne savait pas quoi me dire. Il fallait que mon gérant de banque et les « autorités » de l’époque soient certains que je ne m’en sortirai pas pour faire ça. Le pervers étant à son plus fort. J’avais, à ce moment-là, plus de huit mille dollars à déposer dont trois mille que j’avais sur moi lors de mon « enlèvement » le vendredi midi 12 septembre 2003. J’écrirai chaque fait; c’était comme les drames au cinéma. Sauf que, dans mon cas, le film n’avait pas, pour moi, de fin. Le mobbing était partout, avec les gens que je connaissais et même ceux que je ne connaissais pas. Aujourd’hui je peux comprendre parce que c’est écrit noir sur blanc dans les text-books, mais à l’époque ça m’a réellement traumatisé.

« Je ne pouvais rien vendre », effectivement monsieur Paul, on m’a volé mon passeport, ma carte d’assurance maladie et mon permis de conduire avec mon certificat de naissance pour, je crois, éviter que je vende, à l’époque, deux huiles du peintre québécois : John Der ($2750) à une collectionneuse de St-Lambert. Mon téléphone devait être tapé jour et nuit, par la coalition perverse, on savait que je voulais faire cette transaction en octobre 2004 et le pervers ne voulait pas. Mes œuvres d’art c’est, en fait, ce qui m’a sauvé la vie. Plus aucun papier ni preuve de citoyenneté, je me suis quand même rendu chez cette dame qui a réalisé la transaction avec une simple photocopie couleur de ces documents que j’avais cachés en prévision de cette éventualité. Notes, Paul, que cette photocopie m’a été volée par les gardiens de prison de Rivière des Prairies le 3 décembre 2004, avec tout ce que j’avais gardé de ma vie (comme informations, documents) pour me débrouiller (toutes mes poches étaient pleines partout dans mon immense manteau de l’armée canadienne que j’avais acheté sur la rue St-Laurent pour dormir dehors). Tout ce que j’avais choisi de conserver, imaginez, tout ce que considérais important pour moi m’a été volé par les autorités à ce moment là et jamais il ne me les ont rendu à ce jour. NON, je ne pouvais rien vendre, Paul. « Faut pas rire de ça. » Vous allez comprendre, si vous vous intéressez réellement au harcèlement moral, que le contrôle exercé par les pervers sur les biens et les droits de leurs cibles est caractéristique de ces violences : presque infini.

Et vous me proposez, ici, d’aller me cacher chez mes voisins anglais dans l’Ouest, alors que ce sont eux, les criminels, qui devraient chercher à se dissimuler, monsieur Paul. Écrire ces choses c’est, vous comprendrez, dans l’état, insultant.

Vous m’écrivez ensuite : « J’ai lu par hasard votre témoignage. Je suis content que ça semble s’arranger »

Vous voulez rire là. Vous lisez mon truc par hasard et prenez l’initiative de me laisser un message de la sorte. On va prendre des billets de loterie, là, monsieur Paul, car on frise la parfaite improbabilité. J’ai lu vos articles et vos communications avec M. Bédard, le seul autre qui me parle sur ce même ton. Vous avez répondu au dossier de Michel Monette sur le projet Rabaska. Venir dire que c’est par hasard. Sachez alors que les choses ne s’arrangent pas en fait… Je vois que mon pervers, par sa coalition, traficote internet, désinforme, manipule les blogues… et le réseau (tous les réseaux). Y’a plusieurs faits qui ne s’expliquent pas, encore et toujours, monsieur Paul. Même si j’ai reçu un prix en argent de centpapiers pour l’achalandage et le débat engendré par mes articles de septembre.

Ce qui me surprend, surtout, c’est l’absence presque totale d’intérêt du public général face à mes propos. Je me sens comme dans le show Truman, encore, et on ne veut pas que je sache que je suis dans « un putain de cauchemar », toujours. Ça sonne mal, monsieur Paul; c’est malsonnant. Je ne comprends absolument pas, suite à mes écrits, que personne n’entre en communication avec moi. Sérieusement. Qu’un humain extérieur me propose son aide ou veuille simplement me rencontrer. Rien, nada. Que du vent. Je ne peux comprendre que je sois le seul au Québec à vivre ça pour le vrai. Un(e) avocat(e) le moindrement intelligent(e), intègre… (il doit bien y en avoir!), devrait me répondre : je prends quelques heures avec vous docteur, montrez-moi les preuves que vous détenez. C’est tellement simple. Des tas d’avocats s’emmerdent avec des conneries de causes. Moi, le dossier que j’offre, est un cas pour faire le tour du monde. Parce qu’on est au Canada. On pourrait leur dégonfler leur baloune assez solide avec les faits en question. Juste voir le dossier. « J’sais pas! » En plus, j’offre en échange, si ce que j’écris est vrai, des millions de dollars ici, Paul. Le gros lot de la 6/49, deux trois mois de suite! Mais non, personne n’allume, comme si je n’avais rien dit. Explique-moi ça, toi, Paul!

Tu dis et je te cite : « Sinon sans parler d’étranger, partir dans une province voisine sans donner sa future adresse et tel. Si le HM s’appuie sur un soutien politique local voir provincial QC, ça doit couper le gaz. Ensuite faire le point et voir si le HM continue. »

Comme je disais, ce n’est pas moi qui devrai me cacher, Paul, se sont eux. En passant, vous qui êtes d’origine française, sachez qu’on m’a attaqué, par cette puissante coalition, en France, aussi, en octobre 2002. J’ai été volé, dépouillé tout ce que j’avais, mon passeport, mon laptop Inspiron DELL, mon argent canadien et américain, mes Euros, mon linge, tout, et on m’a battu à coups de poing au visage dans un club devant de nombreux témoins, chez vous, dans les caraïbes. Je me suis ramassé sur le pavé en France, craignant pour ma vie. Et moi, Paulo, faut me connaitre, mais je ne suis pas peureux de nature.

Je comprends aujourd’hui que mon pervers voulait surtout savoir si j’avais de l’argent caché dans le sud ou ailleurs, ma précieuse banque et ses associés n’ayant été en mesure de me transférer aucun fond à St-Martin, alors que ma carte de débit, qu’on m’avait volé, avait $2000 libre de crédit. J’ai dû dormir par terre, plusieurs jours. De plus j’avais un remplaçant (le docteur Jules Blanchette) qui faisait plus d’argent, dans mon hôpital de Ville Sainte Catherine, que si j’y étais moi-même. Aujourd’hui je comprends que mon pervers devait vérifier si je n’avais aucune autre ressource financière avant de poursuivre son attaque. Il avait réussi alors à prendre possession complète de mon hôpital, ma banque, mes trois résidences et mes conjointes au Québec. Il se doutait qu’un vétérinaire, qui fait du cash comme moi, était en mesure d’avoir des ressources cachées. Surtout que j’avais essayé (via Internet) d’acheter un voilier en bois de 45 pieds (1953) au Mexique en 2001. Le pervers voulait s’assurer que je ne puisse fuir, évidemment. Or il l’a su. Rien, pas d’argent ailleurs. Capable de se revirer « sur un dix cennes », mais bien seul au monde. Puis le reste du drame s’est déroulé comme dans les récits des pires cibles étudiées par les enquêteurs (spécialistes) de la question. Une emprise totale et irréversible. Un plan de destruction garanti pour ma propre personne. Je sais que les autorités du Québec savent tout sur le dossier, maintenant. Je sais que la partie est, dans mon école à moi : Échec et mat.

Vous me dites ensuite en numérotant même vos propos : 1. « Si ça continue, c’est sans doute de la paranoia et il faut consulter un bon psy. »

Ben oui, Paul, je m’attendais à ce qu’on m’la sorte celle-là. C’est leur seule et unique carte; ces chiens sales! Et ça, ça me met « le feu » d’habitude parce que ça m’insulte au plus haut point, mais ici j’en ris. « Un bon psy! » Veux-tu que je t’en parle des bons psys au pays, Paul? Il ne faut pas en douter : il y en a beaucoup de bons psys, des psychiatres qui connaissent en plus très bien de quoi on parle. Des bons psys qui vont même analyser ta question ainsi que mes réponses. Notons que deux femmes psys m’ont déjà sorti de la merde solide, contre ce même pervers. Elles savent de quoi je parle, certainement. Pas besoin de psy Paul, merci, certain.

« Ça s’arrête et on refait sa vie. »

Ben oui, Paul, facile… je vois que vous ne comprenez pas du tout de quoi il est question, ici, ou vous faites semblant de ne rien comprendre plutôt. Lorsque je vais en finir avec ces chiens là, Paul, je referai ma vie. En attendant, c’est impossible, simplement impossible. Ni ici, ni ailleurs.

« Le principal c’est sa vie et sa famille et les biens, ça vient ensuite M.Marsan. »

Ben oui Paul, je vois que vous avez tout saisi ici encore : Vous êtes vivant, M. Marsan, et votre famille aussi, vous devriez être heureux de ça non! Vivre à la rue, plus aucun droit, y’a rien là!

« Avec une profession comme la vôtre, on refait très vite son capital. »

Ben oui Paul, ça coute 100 000 $ au minimum partir un hôpital vétérinaire, à part le reste. Tu parles de ça comme d’un salon de massage. Sans compter le différend grave et impardonnable, pour lequel je demande enquête et réparation, clairement, depuis le printemps 2004, avec mon ordre professionnel (Ordre des Médecins vétérinaires du Québec). Autorité que mon pervers a dû préalablement mettre dans sa poche pour me détruire. Je suis content que vous m’en parliez, Paul.

J’ai présenté un document, à l’OMVQ, d’une cinquantaine de pages, qui décrit certains faits du complot et pourquoi je demande réparation. Notez que j’ai écrit cette demande d’arrêt des procédures une année et demie avant que je connaisse le harcèlement moral (avant que je sache que toutes ces malversations étaient engendrées par ce petit pervers de ma région). Ils ont fait, alors, comme si je n’existais pas. Comme si je n’avais rien dit. Comme s’ils étaient eux aussi au dessus de toute enquête, au dessus de toutes les lois. Cela a été vrai pour quelques années, mais le problème c’est que je suis encore vivant. Ni en prison; ni en psychiatrie. C’est le seul os dans leur soupe, dire vrai. J’ai obtenu tout ce que je voulais en matière criminelle. Mais mon droit de pratique le vieux pervers l’a entre les mains, le(s) pauvre(s). En passant, les originaux de mes diplômes aussi. Y faut être malade, non! Il m’a fait voler mon B.Sc. original de l’UQAM (1983) et mon D.M.V. de l’Université de Montréal (1988). Le Vieux débile. Comme si ça changeait quelque chose.

Juste pour voir comment il a été capable d’annihiler ce que j’ai pu réaliser, vous pouvez vérifier, à la fin de mon doctorat vétérinaire j’ai obtenu une marque très prestigieuse à St-Hyacinthe : la plaque honorifique de l’association vétérinaire Canadienne « en hommage à l’étudiant qui de l’avis de ses confrères et faculté s’est le plus distingué par ses résultats académiques, son initiative et son esprit sportif ». La cerise sur le Sunday qui concluait très bien mon parcours scolaire. Or ces présidents de classe (le plus souvent) se trouvaient présentés sur une immense plaque à l’entée de la bibliothèque de la faculté de médecine vétérinaire. Les noms des médecins récipiendaires, depuis plus de deux décennies, y étaient inscrits. Or cette plaque a été enlevée et le prix : cessé d’être donné au Québec après que je l’aie reçu. Tu en veux des traces Bob, je t’en donne là.

« De toute façon, votre capital est assez bien protégé par les lois sur la propriété privée. »

Ha oui vous n’avez jamais si bien dit. Il y en a des tas de lois qui devraient me protéger avec celles-là, Paul. Le jour que les lois s’appliqueront dans mon dossier, monsieur Paul, je vais pouvoir faire du bénévolat pour le reste de ma putain de vie et venir en aide aux autres. […]

« Vous le vendrez qq années plus tard. »

Ben oui, Paul, et là je serai prêt pour prendre une :

Belle retraite comme un bon baby-boomer libéré.

« Celui qui s’accroche et fait face a une sorte de mafia, va payer cher sa lutte s’il est seul ou presque. »

Qui parle de mafia Paul? On voudrait bien que ce soit un dossier de mafia, mais c’est la police Paul le méchant ici; pas la mafia. Ceux-là payés avec nos impôts, Paul, tes propres taxes! Les gens de la mafia n’agissent jamais en hypocrite comme ça. Ce sont deux mondes différents qui n’ont rien à voir ensemble, à ce niveau. Je crois que tu n’as rien compris, Paul, non plus, de ce qu’est un pervers narcissique. Un vrai criminel n’aurait jamais fait un centième de ce que ce chien m’a fait. Les mafiosi ont un code d’éthique, un respect pour certaines règles. Ils ne se sentent jamais menacé par un vétérinaire modeste qui adore sa profession et qui est capable d’opérer pour eux, éventuellement. Un rebel libre. Quand ils attaquent, on sait pourquoi et on sait qui agit. Ils affrontent leurs adversaires! Dans le harcèlement moral la règle c’est que tout est caché, tout le mal est agit dans le dos de la cible. Dans un livre récent du psychiatre Yves Prigent (2007) « Face au harcèlement moral », à la page 15, en parlant de l’étiologie du harcèlement moral, il établi que : « elle n’est généralement pas repérée. Il s’agit presque toujours d’un phénomène sournois, caché. L’auteur du harcèlement ne procède pas au vu et au su de tous. »

Les pervers, Paul, ont peur de leur cible. Pas les Mafiosi. En face à face ils nient tout en fourbes et agissent comme s’ils ne comprenaient rien. Pas les Parrains de la mafia Paul! Il y a une grande différence entre un conflit et le harcèlement moral. Venir comparer ces petites « crapules magouilleuses » de pervers, manipulateurs, avec la mafia c’est insulter ces derniers dangereusement. Je parle de petits politiciens en cravate qui se pensent au-dessus de la loi et de tout. Des menteurs au pouvoir qui contrôlent la police et la justice. Lis un peu sur le sujet Paul, ce ne sont que des chieux ces pervers. Leurs fidèles croient qu’ils sont des anges. Rien à voir avec des mafieux.

Mais j’ai, aujourd’hui, une petite nouvelle pour eux autres, moi. Des centaines de personnes, écœurées, savent de qui je parle (des gens qui seront très fiers de moi, lorsque je le coincerai cet homme). Les gens qui m’ont côtoyé savent bien ce que ce vieux malade a fait dans ma vie et aussi dans l’arène publique ces dernières années. Rien de reluisant mon cher Paul de Montréal. Cependant, tiens-toi-le pour dit : rien à voir avec la mafia que je respecte cent fois plus, à un niveau certain, que mes adversaires.

« Repli stratégique et mieux vaut prévenir que guérir. »

Je sors du repli stratégique mon Paul, saches que je ne vais jamais y retourner. C’est le vieux bâtard qui fait son repli stratégique aujourd’hui. C’est à lui que tu devrais donner des conseils, je pense. J’aime cent fois mieux être dans mon actuelle position que dans ses culottes de millionnaire sous enquête (même si elle est étouffée et cachée par nécessité).

« Je vous souhaite une bonne santé et l’arrêt de ce HM à vous et votre proche famille. »

Ça monsieur je lis ça comme des menaces détournées. Vous ne semblez pas comprendre du tout, encore, Paul. Je crois que les trois phrases que vous avez citées on vous les a extraites, sur mesure, pour introduire votre message provocateur, et que vous n’avez pas lu mes articles.

Ha, on peut menacer ma famille proche, ils sont déjà bien au courant. Ils savent de quoi les « chiens sales » sont capables. Partout. Mes enfants n’ont pas peur du harcèlement moral ni de mon pervers. Ils savent ce que c’est, clairement, et que mon pervers est fini, lui pis sa gang. Ce n’est qu’une question de temps et de principe de justice. Y’a beau valoir cent millions. Y’a beau vouloir faire renommer sa ville à son propre nom et prénom, un criminel tel que lui, personne ne peut plus supporter ça. On est tanné depuis longtemps, nous qui essayons de bâtir un monde meilleur, de se faire tromper par des salauds de pervers comme celui qu’on protège ici. Les gens sont irréversiblement dégoûtés d’eux! Ça Paul, c’est irrémédiable.

Le mobbing, le harcèlement moral, le bullying, Paul, la violence cachée, tout ce que j’ai vécu, bientôt, d’ici quelques années, tous les peuples vont connaitre et reconnaitre ça. Présentement les dossiers engendrés pas eux, les agents corrompus en question, pour fourrer les procédures, notamment, les spécialistes savent clairement les identifier. « Comme des bancs de poissons. » Retiens bien ça…

Charles Marsan (tvie@msn.com)

N.B. Enfin, pour répondre à votre proposition, monsieur, notez que jamais il n’a été question que je me sauve de quoi que ce soit. Comme dans la chanson de Daniel Boucher La patente : « Ou ben tu t’rends […] Ou tu d’défends! » Surtout depuis que je sais de quoi il retourne. Ce n’est pas moi qui vais me sauver, Paul, mais cette coalition de sales cons!

En passant, avez-vous entendu parler du nouveau livre : Objectif zéro chien sale (la version québécoise de : Objectif zéro sale-con). Pour nous au Québec zéro sale con ça faisait quétaine. Or les Français on remplacé l’expression par : zéro chien sale, parce que c’est bien de ça qu’on parle. L’auteur est un lettré de haut niveau, un professeur universitaire Français, or il prétend qu’il est capital pour faire comprendre le phénomène que l’on emploie des mots qui font connotation avec la réalité : de vrais « chiens sales », justement. Et leur règne est terminé, leurs comportement de meutes, leurs manières de menacer et de détruire les individus se trouvent enfin révélées. La guerre au harcèlement moral est bien entamée et c’est un processus irréversible. On n’a qu’à observer et tout est clair comme de l’eau de roche. C’est le droit de parole qu’on travaille, aujourd’hui, enfin. Je peux dire ce qui est arrivé, maintenant, tout simplement parce que je comprends. Dans le harcèlement moral tout est agi pour que jamais on ne comprenne rien. Nécessairement.

Parlant compréhension, comment se fait-il que le livre : Objectif zéro chien sale soit dans les ordinateurs de la bibliothèque nationale depuis des mois, mais introuvable. Alors que toutes les librairies en ont reçu, partout. Ce doit être l’étiquetage… Tu sais mettre le petit collant sur le putain de livre! Ça c’est une affaire de 66 jours au moins! À moins qu’un pervers associé soit dans la boite pour obstruer le processus. Je vais le lire le mois prochain, alors. Mais je vais le lire, ça c’est sûr.

Aucun commentaire: