dimanche 20 janvier 2008

Suicide-toi donc!

Je vous invite à prendre connaissance de cette triste réalité.

Bon printemps à tous...

XXX

Charles

http://www.centpapiers.com/La-cyberintimidation

mercredi 5 décembre 2007

Choc post-traumatique et harcèlement moral

L'effraction psychique sans infraction


L'injustice qui sévit le plus sournoisement dans nos sociétés est sans contre dit le harcèlement moral que les psychiatres s'entendent tous pour qualifier de phénomène inouï.


Comment distinguer les cibles de cette violence?

On s'imagine bien toute l'importance de distinguer les vrais des fausses victimes de harcèlement moral. L'un des auteurs, en 2007, qui a développé cette question : Jean-Paul Guedj distingue les victimes « techniques » (vraies) des victimes « dramatiques » simulant, inventant la réalité de la souffrance. Selon lui, les vraies victimes, par manque de confiance en elles (fragilité psychologique) ne savent tout simplement pas dire non. C'est en évitant tout conflit qu'elles deviennent victimes d'abus de pouvoir par une hiérarchie arbitraire. Il dit : « On les exploite, on les manipule on les réifie (chosifie). Elles se retrouvent ainsi rapidement dans des spirales de situations odieuses qui les font souffrir et qui les conduisent […] à des états dépressifs. »


L'objectif du harceleur est d'amener les autres à détruire la cible!
Pour que cette relation vampirique s'établissant entre un pervers et sa « cible »

- Le pervers doit très bien connaitre la victime, l'étudier,

la tester, pour trouver ses failles;

- Il doit la séduire pour développer une emprise

sur elle, pour créer une relation;

- Il doit amener un climat de sécurité qui permet

à la victime de se laisser avoir;

- Il doit manipuler les autorités dont dépend la victime,

ses proches et sa famille;

- Il doit divulguer des ragots qui lui portent préjudice,

afin de créer une emprise;

- Créer des situations pour la faire tomber,

jouer sur sa confiance et ses repères;

- Ex : Accusation de viol, assaillant sa vie privée,

de consommation, de maladie;

- Le but est d'isoler la cible en créant une coalition

qui vise à l'attaquer, partout;

- Cette chasse à l'homme n'aura de fin que

lorsque la cible sera brisée ou morte;

- Le harcèlement moral est très différent

d'une agression, il est subtile et caché;

- Il n'y a pas de conflit dans le harcèlement :

personne ne peut rien comprendre;

- Le harcèlement moral assomme les victimes

tel un vrai choc post-traumatique.


Les spécialistes disent que : le bon sens, la bonne volonté et le bon corur ne suffisent pas devant cette pathologie nouvelle et énigmatique. Le psychiatre Yves Prigent qui a récemment écrit le livre : « Face au harcèlement moral » ajoute que l'information journalistique est insuffisante. Il affirme que l'étiologie du harcèlement moral n'est généralement pas repérée puisqu'il s'agit presque toujours d'un phénomène sournois, caché. Il prétend que l'état de choc post-traumatique que l'on rencontre chez presque toutes les victimes de harcèlement moral est caractéristique de ces violences. « Les conséquences du harcèlement moral sur la victime ne sont pas de l'ordre du chagrin, de la colère, de la peine, de la contrariété, de la fatigue, de la dépression comme il en est en cas de travail pénible, de pressions, voire d'agressions caractérisées. » Il affirme que :


Le harcèlement moral est un traumatisme au même titre que : – D'autres formes de torture : en particulier les tortures morales opérées dans certains régimes totalitaires sous le nom de « lavage de cerveau ». Ces procédés ne tendent pas à détruire physiquement une victime, mais à lui faire perdre la confiance dans ses croyances, ses capacités, ses certitudes. – Des situations graves et imprévisibles comme les prises d'otages, les attentats, les détournements d'avions. Ces situations ont en commun qu'elles se produisent de façon imprévisible et qu'elles entrainent une véritable effraction psychique


Selon le Dr Prigent, les symptômes des états post-traumatiques, surtout connus depuis l'abondance des victimes du terrorisme, se rencontrent dans les vrais cas de harcèlement moral. Installant les victimes dans un état permanant de perplexité et d'hésitation; de rumination et obsessions sur la situation traumatisante. Il y a perturbation de la pensée : le sujet ne parvenant pas, malgré ses efforts, à chasser de son esprit cette situation, comme si elle devait se reproduire immédiatement. Cela évolue vers des troubles du contact : la victime ne cherchant plus à entrer en relation avec quiconque. « Elle se maintient enfermée, parfois elle ne quitte plus sa maison, ni même sa chambre, ni même son lit… » La guérison est toujours très longue et peut se faire vers des « modifications durables de la personnalité, des dépressions chroniques résistantes, ou même des organisations de type paranoïaque. » Dans ces « cas de choc post-traumatique », en absence de maladie mentale, lorsque qu'il n'y a pas eu d'infraction, doit faire penser au harcèlement moral.


Grande distinction entre « agression » et harcèlement moral

Dans l'agression, comme l'indique l'étymologie, l'agresseur fait une démarche à savoir qu'il « s'avance » (ad-gressere) de manière visible et clairement hostile. On voit généralement d'emblée où « il veut en venir ». Ce qui fait contraste avec le harcèlement moral pervers qui s'organise de manière subtile et longtemps inapparente. Dr Prigent confirme à ce sujet que :


La violence est sourde, muette et aveugle […] peu visible et perceptible, même pour la victime elle-même, pour l'entourage immédiat […] Le pervers n'entend pas le langage de la raison ou du coeur; il ne voit pas la réalité de son interlocuteur. L'acte pervers ne tend pas à nuire utilement mais à détruire absolument. Le pervers est donc un prédateur.


Quelques caractéristiques du comportement pervers :

Comme son étymologie l'indique, le pervers (per-vertere) retourne complètement les situations. Le plus souvent il transforme le bien carrément en mal (un peu à l'image des forces démoniaques qui visent à pervertir une jeune vierge). Il manipule en ce sens qu'il utilise les gens comme de véritables objets qu'il déplace avec la main. On parle de l'instrumentalisation des personnes. Ses communications sont obscures, ambigües, contradictoires dans le but d'assurer son emprise sur sa cible d'où elle est incapable de se dégager pour agir selon ses propres désirs.

On parle que les victimes se trouvent « KO debout » en ce sens qu'elle ne comprenne aucunement ce qui leur arrive. Le pervers ne s'attaque pas à ce que fait sa victime, mais à ce qu'elle est. Par ce fait il y a toujours atteinte à sa personne par dépouillement de son honneur et de sa dignité. Aussi le pervers agit toujours de manière imprévisible, ce qui empêche la victime d'élaborer un mode de défense, de se faire une idée, de savoir « sur quel pied danser. » Le pervers se plaint à l'entourage de sa victime, à ses supérieurs, afin de l'isoler selon la technique habituelle du prédateur : « le loup qui isole un mouton du troupeau ». Son but étant de détruire la cible.

Il est important de faire reconnaitre ce phénomène sociétal. Moi-même n'avais jamais entendu parler de ce type d'attentat. Il est impératif de faire comprendre le rôle de la société dans le harcèlement moral, qui est, rappelons-le, une pathologie sociale. Pour lutter contre cette manière totalitaire d'agir à l'égard de nos propres citoyens, il faut s'impliquer véritablement afin de protéger, guérir et réparer les victimes.


Conclusion

Par bonheur ces propos s'insèrent dans une perspective d'avenir. Du 3 au 6 juin prochain se tiendra à l'UQÀM la 6ième Conférence internationale sur le harcèlement moral. Ariane Bilheran, que je vais recevoir durant son séjour, accompagnera un panel des plus grands spécialistes au monde lors de cette rencontre. Les plus récentes recherches sur cette complexe question y seront dévoilées. On y parlera d'ostracisme chez les jeunes et par Internet, du harcèlement qui pousse au suicide, de harcèlement moral au travail, de mobbing, de bullying. La date limite pour proposer une allocution vient de prendre fin. Docteure Marie-France Hirigoyen (l'instigatrice de la doctrine du harcèlement moral) a déjà confirmé sa présence.

Il s'agit d'une lutte que nous devons mener, avec force, inlassablement, au nom des droits les plus fondamentaux de l'espèce humaine : Le droit à la sécurité, le droit à la dignité et le droit à la vie.

Bibliographie :

BILHERAN Ariane, « Le harcèlement moral » Paris, Armand Colin, 2006.

GUEGJ Jean-Paul, « La perversité à l'oeuvre : Le harcèlement moral dans l'entreprise et le couple » Paris, Larousse 2007

HIRIGOYEN Marie-France, « Le harcèlement professionnel » Paris, Pocket, 2003.

PRIGENT Yves, « Face au harcèlement moral » Paris, Desclée de Brouwer, 2007.

mardi 20 novembre 2007

Jean-Marc Fournier dénonce enfin la désinformation


Cette semaine je vous présente un billet spécial qui me démontre que le gouvernement du Québec, en s'attaquant à l'entreprise de désinformation mise en place par les partis d'opposition au sujet du tracé de l'autoroute 30, s'en prend aux mêmes adversaires que moi!

Vous trouverez ci-après le communiqué écrit par le ministre Jean-Marc Fournier. Ce texte représente la meilleure nouvelle que j'ai entendue depuis longtemps. Cette réponse, du parti libéral, est une dénonciation très explicite des manoeuvres de la coalition qui désinforme les faits depuis trop longtemps dans ce dossier. Ces gens emportent avec eux le PQ et l'ADQ.

Par la force des choses le gouvernement dénonce ici, lui-même, le pouvoir abusif, détourné qui nous empêche aujourd'hui de faire avancer le Québec. Espérant que ce ne soit pas qu'une magouille détournée pour nous obnubiler, cela demande, à mon avis, beaucoup de courage, et je l'en félicite.

Cependant, pour faire le processus sincèrement, complètement, le parti libéral du Québec devra faire son mea culpa dans ce même dossier. Il doit avouer que, malgré le fait qu'il se défend aujourd'hui contre ce complot scandaleux, il a gaspillé 55 millions pour exécuter un bout d'autoroute inutile dans cette région. Après leur élection de 2003, ils ont permis la construction d'un kilomètre d'autoroute dans la seule portion de la 132 qui était flambant neuve et que l'on ne devait pas toucher. La route 132 à cet endroit avait cinq superbes voies. Tout cela, après les audiences publiques et le rapport du BAPE qui recommandait clairement de ne pas faire ce qu'ils ont fait à Candiac.

Notons que ce mauvais investissement de 55 millions de dollars, pour desservir la Ville de DELSON avec six voies autoroutières! représentait le seul argument avec lequel les désinformateurs nous ont martelés, effrontément, pour continuer d'imposer leur projet d'autoroute 30 dans l'axe de cette route. Il va bien falloir qu'un jour les gens comprennent : pourquoi donc ils ont fait ça? Pourquoi investir 55 millions pour une seule voie de plus à cet endroit? Plusieurs milliers d'observateurs le savent déjà. La raison étant tellement évidente!

À tous ceux qui ont participé à cette campagne de désinformation je dis : "Honte à vous!" Le député libéral Dubuc (comté de Laprairie), ancien conseiller municipal de Delson, a permis de faire exécuter ce projet que jamais on n'avait, personne, entendu parler. Pire, en mettant en plus la population et les 50 000 conducteurs qui circulent sur la 132 chaque jour, encore dans la merde, dans des travaux mégalomanes pendant les trois dernières années. Provoquant ainsi de nombreux accidents et dommages aux citoyens. Et cela, comme le ministre le rappelle clairmement, à l'encontre de la volonté collective. Cinquante-cinq millions de dollars ont été dilapidés pour cet affront à notre démocratie alors que l'on aurait dû mettre ces sommes, bien évidemment, dans la réparation de nos infrastructures que nous savions sur le point de nous tomber dessus!

Insistons sur le fait que NOUS, la population locale de ces petites municipalités touchées, les commerçants et propriétaires, avons été pris en otage pendant plus de 30 ans suite aux visions de ces mêmes lobbys que le gouvernement dénonce aujourd'hui. Cela est, selon moi, l'un des pires scandales du siècle dernier à s'être déroulé chez nous. Après l'EXPO 67, ces mêmes gens se sont enflé la tête et ont entrepris sur la route 132 une battue dans notre patrimoine, en expropriant les résidents et commerçants de manière abusive, trente ans avant que les débats aient lieu. Dans les faits notre région a été gardée en état de sous-développement, contrôlé par certaines personnes qui ont eu intérêt à le faire. Ce dossier de la 30 sur la 132 passera à l'histoire comme une caricature de l'entrave au bon sens, majeure; un viol effronté, en cachette, de nos droits.

Personne ne pouvait savoir, donc, ce qui se dessinait derrière cette gigantesque entrave à notre démocratie. Et même moi, qui ai vécu au coeur de ce conflit durant toutes ces années, je viens à peine de saisir ce qu'il en retourne. Retrouner étant vraiment le bon mot!

Je rends ici hommage à notre droit à l'information
et à cet outil, virtuel, merveilleux, qui nous relie.

Charles Marsan
résilient québécois

P.S. : Très surpris de cette initiative présentée vendredi dernier, bien qu'il soit normal qu'on capitalise ici contre ceux qui mettent directement en péril le parti libéral, il n'en reste pas moins que le gouvernement s'attaque directement à mes adversaires. Et c'est là, pour moi, la bonne nouvelle (...)

Enfin, il est primordial d'empêcher les mobbyistes (visés ici) de sévir contre nos droits au Québec et cela dès maintenant. Je me vois donc dans l'obligation d'appuyer les libéraux, ici, dans cette croisade sincère contre la désinformation.

Je parle de politique et j'ose me prononcer, dans la présente, mais il faut reconnaitre que les pervers narcissiques ont toujours été de tous les partis. Ils corrompent ceux qui sont en place, qu'importent lesquels. Or dans la présente confrontation publique, je cherche encore l'anguille sous la roche. Comment vont-ils protéger le véritable auteur de toute cette magouille? Comment continuer de cacher à tout l'monde la vérité!

http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Novembre2007/16/c9283.html
Enfin, on se soulève contre la désinformation!
Bravo à tous les libéraux.
Charles Marsan

Partie est de l'autoroute 30 : CE N'EST PAS LE TEMPS D'ARRETER, LES TRAVAUX SERONT COMPLETES SUR LE TRACE SUD

CHATEAUGUAY, QC, le 16 nov. /CNW Telbec/ - «Les tentatives de l'ADQ et du PQ de s'opposer au parachèvement de l'autoroute 30 sur le tracé au sud de Candiac, Delson et St-Constant pour revenir en arrière et aménager éventuellement la partie Est de l'autoroute 30 dans l'axe de la route 132, en plein milieu urbain et contre les recommandations du Bureau d'audiences publiques en environnement (BAPE) sont vouées à l'échec. La campagne que ces deux partis ont entreprise récemment pour s'allier à d'autres groupes ne vise qu'à manipuler ces groupes à des fins politiques. Bloquer ce projet va à l'encontre du consensus qui existe au sein de la grande majorité de la population régionale, des élus locaux et des représentants des milieux socio-économiques». C'est en ces termes que le ministre du Revenu, leader parlementaire du gouvernement et ministre responsable de la Montérégie, M. Jean-Marc Fournier a qualifié la campagne de désinformation entreprise conjointement depuis peu par des représentants du PQ et de l'ADQ et réclamant l'abandon du tracé sud retenu par le BAPE pour la partie Est du parachèvement de l'autoroute 30.

Plusieurs chantiers sont en travaux, 126 millions de dollars ont été engagés et une somme de 45 millions de dollars a déjà été dépensée à ce jour pour la partie Est. «La campagne de retour en arrière des partis d'opposition prouve que l'ADQ a encore une fois changé d'idée, puisqu'au lendemain des dernières élections la député de Laprairie, Mme Monique Roy-Verville déclarait ce qui suit au journal Le Reflet : »Le message que j'envoie aux libéraux est clair : s'il est vrai que 20 à 30 M $ ont déjà été investis pour mettre en branle ce projet, qu'ils continuent sur cette même lancée et que les travaux commencent«. Cela prouve également que le PQ n'a rien compris du message que lui a envoyé la population de la Montérégie sur cet enjeu lors des élections de 2003», de poursuivre M. Fournier.

Le PQ et l'ADQ ne peuvent poursuivre l'objectif de revenir au tracé nord sans déformer les faits et répandre des faussetés. C'est ainsi que prétendre que le coût du tracé Nord dans l'axe de la route 132 ne coûterait que 217 millions de dollars revient à tromper la population. Déjà en 2003, le coût du tracé nord avait été estimé à 300 millions de dollars sans jamais avoir fait l'objet d'une optimisation car le BAPE recommandait plutôt le tracé sud.

Ce dernier est évalué à 305 millions de dollars (2007).

Il n'est pas inutile de rappeler encore les faits :

LE CHOIX DU BAPE

- Le choix du tracé nord (dans l'axe de la route 132) n'a pas été retenu parce qu'il aurait signifié, entre autres, la construction d'une autoroute en tranchée dans un secteur extrêmement développé et aurait eu des répercussions majeures sur la gestion de la circulation sur la route 132, en plus de perturber grandement les activités des commerces et des résidents;

- La présence d'une autoroute à fort débit et à circulation rapide aurait provoqué des impacts sonores et visuels majeurs au coeur de la trame urbaine de quatre villes;

LA 30 ET LA 132 : DEUX PROJETS A VOCATION DIFFERENTE :

- Le tracé sud permet l'ajout d'un axe routier optionnel en cas de fermeture de l'un ou l'autre des deux axes (route 132 et autoroute 30 au sud);

- Le tracé sud est celui qui permet le mieux d'atteindre le principal objectif du parachèvement de l'autoroute 30, c'est-à-dire réaliser une véritable autoroute de contournement de Montréal qui sépare le transit régional et national de la circulation locale en offrant un lien fluide et sécuritaire;

ENVIRONNEMENT ET TERRES AGRICOLES :

- Le MTQ, conformément à son engagement, a réduit au maximum l'emprise autoroutière requise pour le tracé de la partie Est afin d'empiéter le moins possible sur le territoire agricole. Il s'emploie à rétablir la situation des propriétaires touchés, lorsque c'est possible, en remembrant les propriétés touchées, en donnant accès ou en fournissant de nouvelles superficies de terres cultivables au propriétaire.

- Tous les décrets d'expropriation ont été obtenus pour le tronçon Est, et le processus d'acquisition doit être achevé en 2008. Des travaux sont en cours et des contrats accordés. L'échangeur 15/30 est presque terminé, et les travaux de consolidation de la halde de Lafarge ainsi que ceux relatifs à la reconstruction du pont du CP au-dessus de l'autoroute 15 sont commencés.

Le député de Châteauguay et ministre responsable de la Montérégie dénonce donc l'acharnement des partis d'opposition à priver les citoyens d'un lien autoroutier attendu depuis plus de 30 ans. Cette attitude irresponsable soulève bien des interrogations selon le ministre Fournier. Combien d'années la population devra-t-elle encore attendre le parachèvement de l'autoroute 30 pour satisfaire les ambitions politiques du PQ et de l'ADQ? Combien de rapports du BAPE en faveur du tracé sud devront être mis à la poubelle pour répondre aux visées électoralistes du PQ et de l'ADQ? Combien de millions de dollars d'argent des contribuables devront être perdus en raison des reculs que veulent faire subir à ce projet indispensable les deux partis d'opposition? Combien d'années de travaux du MTQ et des experts du secteur privé seront encore gaspillées? Jusqu'à quelle limite va-t-on pousser la patience de la population qui réclame cette infrastructure depuis si longtemps?

«Nous laisserons aux péquistes et aux adéquistes le soin de répondre à ces questions. En ce qui a trait au gouvernement libéral, sa volonté de poursuivre les travaux sur le tracé sud est aussi claire que l'engagement que le Premier ministre, la ministre des Transports et l'ensemble du gouvernement ont pris depuis 2003 : parachever l'autoroute 30 selon le désir et dans le meilleur intérêt des citoyens», de conclure le ministre Fournier.

-30-



OPINION: Je mettrais, si je puis, un bémol à ce communiqué de monsieur Fournier. Précisément lorsqu'il mentionne en introduction : "La campagne que ces deux partis ont entreprise récemment pour s'allier à d'autres groupes ne vise qu'à manipuler ces groupes à des fins politiques." Puisqu'il faut dire que cela est totalement faux! Ce n'est pas récemment que ces partis se sont alliés aux groupes lobbyistes; Mario Dumont lui-même l'a fait ouvertement durant sa dernière campagne électorale; et le PQ, quant à lui, depuis bien avant l'élection du député Dubuc en 2003. Aussi, l'association ADQ - PQ ne vise pas qu'à manipuler ces groupes à des fins politiques tel qu'il est dit, mais en vérité : totalement l'inverse! Ce sont ces groupes (puissants) qui réussissent à manipuler ces partis d'opposition contre les libéraux dans le but de continuer leur projet d'entrave sur la route 132 entre Delson et Kahanawake. Ces mêmes groupes (on devrait plutôt dire: CE même groupe) essayent maintenant, comme on l'a vu déjà dans les médias, d'impliquer les Indiens Mohawks pour, d'une autre manière, encore, entraver le projet du gouvernement. C'est un scandale et vous devriez tous enquêter ça!

...une histoire @ suivre... Charles Marsan

Voir aussi le communiqué en octobre 2007 à ce même sujet :
http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Octobre2007/30/c2068.htmloir





jeudi 8 novembre 2007

Sauvez-vous, loin, puis si ça persiste: allez-voir un bon psy

Monsieur Paul de Montréal,

Vous devez comprendre, ici, qu’une vraie cible de « mobbing » est toujours vendue dès la première rencontre. Parfois ça prend vingt-quatre heures avant que la magouille ne corrompe tout l’entourage, mais, le plus souvent, par expérience, la relation est corrompu avant même qu’elle ne débute. L’emprise devant être absolue dans tous les cas. Faut bien le dire : personne ne peut aider un vrai membre ostracisé, qu’importe la communauté où il est attaqué. Que ce soit en Europe, aux É.-U., chez nous, en Amérique latine ou en Australie, c’est partout pareil. Un préjudice insurmontable s’établi envers les cibles de manière à ce que la masse ne puisse les considérer comme de vrais membres du groupe.

Avant de continuer, je vous invite à lire un auteur américain qui sera à Montréal (Kipling William) en juin prochain lors de la sixième conférence sur le harcèlement moral. Le titre de son livre est : « OSTRACISM ». Prenez connaissance de cela et après vous pourrez intervenir sur ce sujet de manière plus consciente et moins blessante.

Je vous réponds sur ce ton parce que, moi monsieur votre intervention, ici, je la trouve injurieuse. C’est bien vrai que la cible est devenue sensible. Vous pouvez en parler à ceux qui connaissent les résilients qui ont survécu au harcèlement moral. Des propos comme les vôtres, ici, sont offensants.

Vous lisant on dirait que c’est l’adversaire qui écrit. Veuillez écoutez pourquoi :

Vous citez mes paroles, sans nullement y faire référence, en commençant avec : « Dans mon cas, pour ne mentionner qu’une différence, le harcèlement a commencé dès mon adolescence »

Pourquoi vous citez ces mots dans votre « intervention » au juste? Pourquoi en mettre certains en caractères gras? Je vais revenir à ces phrases. J’avais répondu cela, car je sentais qu’on mélangeait les bananes avec le caviar à ce moment-là. Les prunes et les oranges. Et cela m’avait dérangé.

Oui, monsieur Paul, tout ça a commencé dans mon adolescence, alors que j’étais encore enfant. Jamais de ma vie je n’aurais pu croire que ces évènements pouvaient être reliés, car c’est totalement impensable pour une personne normale. C’est, comme j’expliquais, la doctrine du harcèlement moral et les caractéristiques des pervers narcissiques qui m’ont montré que cela est possible et même, dans mon cas, fort probable. Alors même que je réalisais mes rêves, mes études notamment, le vieux pervers tissait sa toile dans ma vie privée de maintes manières. Cela s’est poursuivi durant mes études universitaires (18 à 26 ans), puis dans ma pratique privée (26 à 40 ans), chez moi à Delson et pour la suite j’en ai dressé le tableau, brièvement, dans mon témoignage ci-haut.

Vous citez aussi : « Notons ici qu’on m’a attaqué mes actifs bien avant ma personne dans cette affaire. »

Une autre phrase que vous isolez en mettant certains mots en caractères gras, mais pourquoi? Quel rapport avec votre intervention? Vous pouviez m’écrire les mêmes superficialités sans citer cela, Paul. C’est vrai, après recul, qu’elle me porte préjudice cette phrase précise. En fait, cet énoncé, pris dans le temps, est totalement faux. Il est clair que dans mon adolescence c’était uniquement ma personne physique et morale qui était attaquée par le pervers. Mes actifs étant à l’époque ceux de mon père et non les miens. Et le pervers avait, je crois, peur de lui. Mes actifs, Paul, c’est après mon doctorat, bien sûr, et surtout après la mort de mon père en 1996, qu’on les a attaqués. Pour l’illustrer, j’aimerais mentionner un fait que jamais je n’avais compris et qui s’éclaircit aujourd’hui :

Lorsque j’ai terminé mes études en 1988 je m’étais acheté, avant de revenir à Delson, une vieille Jaguar XJ12 couleur bourgogne (un modèle American saloon 1978 avec des roues de broches). Un petit bijou pour lequel j’avais eu, à l’époque, un réel coup de foudre. Je l’avais trouvé à Granby par hasard, bref je me l’étais procuré, pour la somme de12000$. Lorsque je suis arrivé avec ce superbe bolide chez mes parents, avec la certitude de faire plaisir à ma famille, mon père avait eu une réaction : comme si je venais de faire la plus grosse erreur de toute ma vie. La bébelle en question me coutait $273/mois. Rien d’extravagant pour un médecin vétérinaire qui vient de terminer 21 années de scolarité sans interruption! Il m’avait alors mentionné une chose qui me parut totalement bizarre : « Ne dit jamais à monsieur chose (le vieux pervers en question) que tu t’es acheté ça! Si jamais il te demande comment tu as eu cette voiture, tu lui diras que c’est ta tente qui vit en Ontario qui te l’a donné en héritage, OK! » Je ne comprenais pas, en fait je n’avais jamais compris pourquoi il m’avait parlé de cela. Je me disais : qu’est-ce que ça pouvait faire que ce vieux nul sache que je me suis acheté une veille Jag! Je n’ai compris que quinze années plus tard, comme bien d’autres stupidités du même genre d’ailleurs. Mais je m’en foutais totalement de cette personne, pour moi, sans aucune (AUCUNE) importance. Je ne voyais pas du tout ce qu’il avait à voir avec mes choix d’automobile, j’ai donc oublié cet avertissement.

Pire! Par la suite le propriétaire d’une flotte d’hélicoptères de Québec m’avait proposé quelque chose de bien plus rare que ma voiture : une femelle Jaguar (un fauve) qui venait d’Amérique latine! Je l’ai tout de suite acheté : 1100$ (elle pesait 19 livres). C’était un de mes rêves sincères de vivre avec un grand félin comme ça. Un rêve que j’avais avoué à quelques reprises. Et je l’ai eu mon fauve, sur un plat d’argent. Le jeune prodige, fraichement gradué, qui se promenait alors avec son extraordinaire bête racée sur le siège arrière de sa luxuriante voiture britannique de la même espèce. J’arrivais d’un stage dans le désert du Sahel au Mali, en 1988, et j’avais la protection d’un système qui honore et récompense un individu comme moi dans la société. Je faisais beaucoup rouler cette économie si chère à toutes les politiques. Vous voyez un peu le portrait.

Je réalisais, je me souviens, une relation très satisfaisante entre mes rêves et ma réalité. Narcissique moi-même par nécessité, suite au combat que je venais de mener au sein du système de l’éducation de ma province canadienne, on me proposait des rêves, avec la plus belle profession qui soit (selon tous les enfants du monde). La publicité, l’image si importante socialement, le côté rebel juste correct pour ne jamais offenser la véritable autorité. J’étais créatif, poésie, peinture, photographie, piano. J’adorais plus que tout, réellement, la musique. Je commençais ma carrière, en tant qu’individu assez atypique, et je dérangeais beaucoup le petit monde de la Rive-Sud de Montréal. Bien des gens dans ce petit patelin se sont mis à trouver, probablement, que j’étais trop spécial pour la moyenne. Faut avouer que les gens parlaient alors beaucoup de moi. Je vivais à Delson depuis l’âge de trois ans et j’avais du succès, beaucoup de succès! Dans ma tête, même si je savais que ce vieux taré n’aimait pas que je roule avec cette auto, je l’avais loin dans le c… vous comprenez. Personne ne m’a jamais dit, de toute ma vie, quoi faire; personne. Ce n’était pas ce pauvre type qui allait le faire, ça j’en aurais mis ma main au feu! Mais, je me suis trompé.

J’ai toujours fait les choses à ma tête, je n’avais rien à foutre de ces malingres moi, qu’importe leurs statuts, ou leurs revenus. Cependant, jamais je n’aurais douté que des humains pourraient manigancer un complot comme celui dont j’ai été la cible. Ni sur moi, ni sur personne d’autre.

Dans l’année qui a suivie la fin de mes études, en 1989, on m’a attaqué avec une organisation criminelle et un plan, sur mesure pour moi, dans le but de m’anéantir, coute que coute. Une histoire vraiment grave, tellement! que jamais vous ne pourriez vous imaginer ce que ces « bâtards » m’ont patenté comme magouille avec leur coalition. C’est là que le pervers a exécuté son piège avec ses putains et ses bandits, associés aux forces policières, super protégés de surcroit. Cela explique pourquoi « par la suite » on m’ait laissé aller. Le pervers avait décroché sa carte pour continuer à me harceler, comme il l’a fait, toutes ces années. Avec (une fin) en tête.

Je présenterai tous les faits devant les tribunaux si on n’en vient pas à un règlement hors cour.

Pour revenir à votre intervention..., vous rajoutez cette autre citation hors contexte :

« Je ne pouvais gagner nulle part, mais surtout je ne pouvais rien vendre ni m’expatrier à l’étranger. »

Effectivement, je me retrouvais dans un véritable cul-de-sac. Une seule sortie possible dans tous les cas et c’était toujours lui, le dirigent pervers en question, qui la préméditait et la faisait s’exécuter par sa cohue. C’est tellement stupide et évident! On aura de nombreuses situations criminelles à enquêter et des complices, des dizaines, à interroger. Pour l’illustrer, je dirai que le simple fait de remettre les causes magouillées au rôle à Longueuil à l’été 2006 aura été un exploit pour moi. « Je ne pouvais gagner nulle part », ça, c’était plus qu’évident. « Je ne pouvais rien vendre » non plus. La banque, dans laquelle je déposais mes revenus depuis près de 10 ans, m’a effacé dans les ordinateurs, deux semaines avant que je renouvelle mes hypothèques, en septembre 2003. J’avais des centaines de milliers de dollars d’équité et les taux d’intérêt devenaient au plus bas de l’histoire (2% et moins). Les valeurs des résidences, elles, atteignaient alors des sommets. Je venais d’acheter une bâtisse commerciale : le 6030 Route 132 à Ville Sainte-Catherine, quelques mois auparavant, avec un PPE (prêt aux petites entreprises) du gouvernement québécois. Et pendant que je me suis retrouvé enfermé la première fois, juste après avoir produit trente-quatre milles quelques cent dollars dans le mois précédent (pas dans l’année, Paul, dans le mois d’août 2003), on ferme mon compte commercial qui était au nom de l’Hôpital Vétérinaire Marsan inc. […] Paul, même si j’étais mort ça aurait été très long et compliqué de fermer mon compte commercial, tu dois savoir ça, toi.

Non, mais vous ne savez sûrement pas c’est quoi d’être vétérinaire et de produire trente mille piastres par mois! Et, je dois le dire, faire ça pendant quinze années, six jours sur sept, sans que jamais je ne sois accusé d’une seule faute médicale ni chirurgicale, chez toutes les espèces animales, faut le faire! Or j’arrive à « ma Banque », après avoir réussi à sortir de psychiatrie, et la caissière, je m’en souviens, tout mal à l’aise, m’annonce qu’elle ne me trouve plus dans sa banque de données. Elle essaye à mon nom personnel. Puis réessaye avec le nom de mon entreprise, me redemande mes numéros de compte. Niet, plus rien, le docteur Marsan n’existe plus. Imaginez! En plus, la dame était ma cliente. Elle ne savait pas quoi me dire. Il fallait que mon gérant de banque et les « autorités » de l’époque soient certains que je ne m’en sortirai pas pour faire ça. Le pervers étant à son plus fort. J’avais, à ce moment-là, plus de huit mille dollars à déposer dont trois mille que j’avais sur moi lors de mon « enlèvement » le vendredi midi 12 septembre 2003. J’écrirai chaque fait; c’était comme les drames au cinéma. Sauf que, dans mon cas, le film n’avait pas, pour moi, de fin. Le mobbing était partout, avec les gens que je connaissais et même ceux que je ne connaissais pas. Aujourd’hui je peux comprendre parce que c’est écrit noir sur blanc dans les text-books, mais à l’époque ça m’a réellement traumatisé.

« Je ne pouvais rien vendre », effectivement monsieur Paul, on m’a volé mon passeport, ma carte d’assurance maladie et mon permis de conduire avec mon certificat de naissance pour, je crois, éviter que je vende, à l’époque, deux huiles du peintre québécois : John Der ($2750) à une collectionneuse de St-Lambert. Mon téléphone devait être tapé jour et nuit, par la coalition perverse, on savait que je voulais faire cette transaction en octobre 2004 et le pervers ne voulait pas. Mes œuvres d’art c’est, en fait, ce qui m’a sauvé la vie. Plus aucun papier ni preuve de citoyenneté, je me suis quand même rendu chez cette dame qui a réalisé la transaction avec une simple photocopie couleur de ces documents que j’avais cachés en prévision de cette éventualité. Notes, Paul, que cette photocopie m’a été volée par les gardiens de prison de Rivière des Prairies le 3 décembre 2004, avec tout ce que j’avais gardé de ma vie (comme informations, documents) pour me débrouiller (toutes mes poches étaient pleines partout dans mon immense manteau de l’armée canadienne que j’avais acheté sur la rue St-Laurent pour dormir dehors). Tout ce que j’avais choisi de conserver, imaginez, tout ce que considérais important pour moi m’a été volé par les autorités à ce moment là et jamais il ne me les ont rendu à ce jour. NON, je ne pouvais rien vendre, Paul. « Faut pas rire de ça. » Vous allez comprendre, si vous vous intéressez réellement au harcèlement moral, que le contrôle exercé par les pervers sur les biens et les droits de leurs cibles est caractéristique de ces violences : presque infini.

Et vous me proposez, ici, d’aller me cacher chez mes voisins anglais dans l’Ouest, alors que ce sont eux, les criminels, qui devraient chercher à se dissimuler, monsieur Paul. Écrire ces choses c’est, vous comprendrez, dans l’état, insultant.

Vous m’écrivez ensuite : « J’ai lu par hasard votre témoignage. Je suis content que ça semble s’arranger »

Vous voulez rire là. Vous lisez mon truc par hasard et prenez l’initiative de me laisser un message de la sorte. On va prendre des billets de loterie, là, monsieur Paul, car on frise la parfaite improbabilité. J’ai lu vos articles et vos communications avec M. Bédard, le seul autre qui me parle sur ce même ton. Vous avez répondu au dossier de Michel Monette sur le projet Rabaska. Venir dire que c’est par hasard. Sachez alors que les choses ne s’arrangent pas en fait… Je vois que mon pervers, par sa coalition, traficote internet, désinforme, manipule les blogues… et le réseau (tous les réseaux). Y’a plusieurs faits qui ne s’expliquent pas, encore et toujours, monsieur Paul. Même si j’ai reçu un prix en argent de centpapiers pour l’achalandage et le débat engendré par mes articles de septembre.

Ce qui me surprend, surtout, c’est l’absence presque totale d’intérêt du public général face à mes propos. Je me sens comme dans le show Truman, encore, et on ne veut pas que je sache que je suis dans « un putain de cauchemar », toujours. Ça sonne mal, monsieur Paul; c’est malsonnant. Je ne comprends absolument pas, suite à mes écrits, que personne n’entre en communication avec moi. Sérieusement. Qu’un humain extérieur me propose son aide ou veuille simplement me rencontrer. Rien, nada. Que du vent. Je ne peux comprendre que je sois le seul au Québec à vivre ça pour le vrai. Un(e) avocat(e) le moindrement intelligent(e), intègre… (il doit bien y en avoir!), devrait me répondre : je prends quelques heures avec vous docteur, montrez-moi les preuves que vous détenez. C’est tellement simple. Des tas d’avocats s’emmerdent avec des conneries de causes. Moi, le dossier que j’offre, est un cas pour faire le tour du monde. Parce qu’on est au Canada. On pourrait leur dégonfler leur baloune assez solide avec les faits en question. Juste voir le dossier. « J’sais pas! » En plus, j’offre en échange, si ce que j’écris est vrai, des millions de dollars ici, Paul. Le gros lot de la 6/49, deux trois mois de suite! Mais non, personne n’allume, comme si je n’avais rien dit. Explique-moi ça, toi, Paul!

Tu dis et je te cite : « Sinon sans parler d’étranger, partir dans une province voisine sans donner sa future adresse et tel. Si le HM s’appuie sur un soutien politique local voir provincial QC, ça doit couper le gaz. Ensuite faire le point et voir si le HM continue. »

Comme je disais, ce n’est pas moi qui devrai me cacher, Paul, se sont eux. En passant, vous qui êtes d’origine française, sachez qu’on m’a attaqué, par cette puissante coalition, en France, aussi, en octobre 2002. J’ai été volé, dépouillé tout ce que j’avais, mon passeport, mon laptop Inspiron DELL, mon argent canadien et américain, mes Euros, mon linge, tout, et on m’a battu à coups de poing au visage dans un club devant de nombreux témoins, chez vous, dans les caraïbes. Je me suis ramassé sur le pavé en France, craignant pour ma vie. Et moi, Paulo, faut me connaitre, mais je ne suis pas peureux de nature.

Je comprends aujourd’hui que mon pervers voulait surtout savoir si j’avais de l’argent caché dans le sud ou ailleurs, ma précieuse banque et ses associés n’ayant été en mesure de me transférer aucun fond à St-Martin, alors que ma carte de débit, qu’on m’avait volé, avait $2000 libre de crédit. J’ai dû dormir par terre, plusieurs jours. De plus j’avais un remplaçant (le docteur Jules Blanchette) qui faisait plus d’argent, dans mon hôpital de Ville Sainte Catherine, que si j’y étais moi-même. Aujourd’hui je comprends que mon pervers devait vérifier si je n’avais aucune autre ressource financière avant de poursuivre son attaque. Il avait réussi alors à prendre possession complète de mon hôpital, ma banque, mes trois résidences et mes conjointes au Québec. Il se doutait qu’un vétérinaire, qui fait du cash comme moi, était en mesure d’avoir des ressources cachées. Surtout que j’avais essayé (via Internet) d’acheter un voilier en bois de 45 pieds (1953) au Mexique en 2001. Le pervers voulait s’assurer que je ne puisse fuir, évidemment. Or il l’a su. Rien, pas d’argent ailleurs. Capable de se revirer « sur un dix cennes », mais bien seul au monde. Puis le reste du drame s’est déroulé comme dans les récits des pires cibles étudiées par les enquêteurs (spécialistes) de la question. Une emprise totale et irréversible. Un plan de destruction garanti pour ma propre personne. Je sais que les autorités du Québec savent tout sur le dossier, maintenant. Je sais que la partie est, dans mon école à moi : Échec et mat.

Vous me dites ensuite en numérotant même vos propos : 1. « Si ça continue, c’est sans doute de la paranoia et il faut consulter un bon psy. »

Ben oui, Paul, je m’attendais à ce qu’on m’la sorte celle-là. C’est leur seule et unique carte; ces chiens sales! Et ça, ça me met « le feu » d’habitude parce que ça m’insulte au plus haut point, mais ici j’en ris. « Un bon psy! » Veux-tu que je t’en parle des bons psys au pays, Paul? Il ne faut pas en douter : il y en a beaucoup de bons psys, des psychiatres qui connaissent en plus très bien de quoi on parle. Des bons psys qui vont même analyser ta question ainsi que mes réponses. Notons que deux femmes psys m’ont déjà sorti de la merde solide, contre ce même pervers. Elles savent de quoi je parle, certainement. Pas besoin de psy Paul, merci, certain.

« Ça s’arrête et on refait sa vie. »

Ben oui, Paul, facile… je vois que vous ne comprenez pas du tout de quoi il est question, ici, ou vous faites semblant de ne rien comprendre plutôt. Lorsque je vais en finir avec ces chiens là, Paul, je referai ma vie. En attendant, c’est impossible, simplement impossible. Ni ici, ni ailleurs.

« Le principal c’est sa vie et sa famille et les biens, ça vient ensuite M.Marsan. »

Ben oui Paul, je vois que vous avez tout saisi ici encore : Vous êtes vivant, M. Marsan, et votre famille aussi, vous devriez être heureux de ça non! Vivre à la rue, plus aucun droit, y’a rien là!

« Avec une profession comme la vôtre, on refait très vite son capital. »

Ben oui Paul, ça coute 100 000 $ au minimum partir un hôpital vétérinaire, à part le reste. Tu parles de ça comme d’un salon de massage. Sans compter le différend grave et impardonnable, pour lequel je demande enquête et réparation, clairement, depuis le printemps 2004, avec mon ordre professionnel (Ordre des Médecins vétérinaires du Québec). Autorité que mon pervers a dû préalablement mettre dans sa poche pour me détruire. Je suis content que vous m’en parliez, Paul.

J’ai présenté un document, à l’OMVQ, d’une cinquantaine de pages, qui décrit certains faits du complot et pourquoi je demande réparation. Notez que j’ai écrit cette demande d’arrêt des procédures une année et demie avant que je connaisse le harcèlement moral (avant que je sache que toutes ces malversations étaient engendrées par ce petit pervers de ma région). Ils ont fait, alors, comme si je n’existais pas. Comme si je n’avais rien dit. Comme s’ils étaient eux aussi au dessus de toute enquête, au dessus de toutes les lois. Cela a été vrai pour quelques années, mais le problème c’est que je suis encore vivant. Ni en prison; ni en psychiatrie. C’est le seul os dans leur soupe, dire vrai. J’ai obtenu tout ce que je voulais en matière criminelle. Mais mon droit de pratique le vieux pervers l’a entre les mains, le(s) pauvre(s). En passant, les originaux de mes diplômes aussi. Y faut être malade, non! Il m’a fait voler mon B.Sc. original de l’UQAM (1983) et mon D.M.V. de l’Université de Montréal (1988). Le Vieux débile. Comme si ça changeait quelque chose.

Juste pour voir comment il a été capable d’annihiler ce que j’ai pu réaliser, vous pouvez vérifier, à la fin de mon doctorat vétérinaire j’ai obtenu une marque très prestigieuse à St-Hyacinthe : la plaque honorifique de l’association vétérinaire Canadienne « en hommage à l’étudiant qui de l’avis de ses confrères et faculté s’est le plus distingué par ses résultats académiques, son initiative et son esprit sportif ». La cerise sur le Sunday qui concluait très bien mon parcours scolaire. Or ces présidents de classe (le plus souvent) se trouvaient présentés sur une immense plaque à l’entée de la bibliothèque de la faculté de médecine vétérinaire. Les noms des médecins récipiendaires, depuis plus de deux décennies, y étaient inscrits. Or cette plaque a été enlevée et le prix : cessé d’être donné au Québec après que je l’aie reçu. Tu en veux des traces Bob, je t’en donne là.

« De toute façon, votre capital est assez bien protégé par les lois sur la propriété privée. »

Ha oui vous n’avez jamais si bien dit. Il y en a des tas de lois qui devraient me protéger avec celles-là, Paul. Le jour que les lois s’appliqueront dans mon dossier, monsieur Paul, je vais pouvoir faire du bénévolat pour le reste de ma putain de vie et venir en aide aux autres. […]

« Vous le vendrez qq années plus tard. »

Ben oui, Paul, et là je serai prêt pour prendre une :

Belle retraite comme un bon baby-boomer libéré.

« Celui qui s’accroche et fait face a une sorte de mafia, va payer cher sa lutte s’il est seul ou presque. »

Qui parle de mafia Paul? On voudrait bien que ce soit un dossier de mafia, mais c’est la police Paul le méchant ici; pas la mafia. Ceux-là payés avec nos impôts, Paul, tes propres taxes! Les gens de la mafia n’agissent jamais en hypocrite comme ça. Ce sont deux mondes différents qui n’ont rien à voir ensemble, à ce niveau. Je crois que tu n’as rien compris, Paul, non plus, de ce qu’est un pervers narcissique. Un vrai criminel n’aurait jamais fait un centième de ce que ce chien m’a fait. Les mafiosi ont un code d’éthique, un respect pour certaines règles. Ils ne se sentent jamais menacé par un vétérinaire modeste qui adore sa profession et qui est capable d’opérer pour eux, éventuellement. Un rebel libre. Quand ils attaquent, on sait pourquoi et on sait qui agit. Ils affrontent leurs adversaires! Dans le harcèlement moral la règle c’est que tout est caché, tout le mal est agit dans le dos de la cible. Dans un livre récent du psychiatre Yves Prigent (2007) « Face au harcèlement moral », à la page 15, en parlant de l’étiologie du harcèlement moral, il établi que : « elle n’est généralement pas repérée. Il s’agit presque toujours d’un phénomène sournois, caché. L’auteur du harcèlement ne procède pas au vu et au su de tous. »

Les pervers, Paul, ont peur de leur cible. Pas les Mafiosi. En face à face ils nient tout en fourbes et agissent comme s’ils ne comprenaient rien. Pas les Parrains de la mafia Paul! Il y a une grande différence entre un conflit et le harcèlement moral. Venir comparer ces petites « crapules magouilleuses » de pervers, manipulateurs, avec la mafia c’est insulter ces derniers dangereusement. Je parle de petits politiciens en cravate qui se pensent au-dessus de la loi et de tout. Des menteurs au pouvoir qui contrôlent la police et la justice. Lis un peu sur le sujet Paul, ce ne sont que des chieux ces pervers. Leurs fidèles croient qu’ils sont des anges. Rien à voir avec des mafieux.

Mais j’ai, aujourd’hui, une petite nouvelle pour eux autres, moi. Des centaines de personnes, écœurées, savent de qui je parle (des gens qui seront très fiers de moi, lorsque je le coincerai cet homme). Les gens qui m’ont côtoyé savent bien ce que ce vieux malade a fait dans ma vie et aussi dans l’arène publique ces dernières années. Rien de reluisant mon cher Paul de Montréal. Cependant, tiens-toi-le pour dit : rien à voir avec la mafia que je respecte cent fois plus, à un niveau certain, que mes adversaires.

« Repli stratégique et mieux vaut prévenir que guérir. »

Je sors du repli stratégique mon Paul, saches que je ne vais jamais y retourner. C’est le vieux bâtard qui fait son repli stratégique aujourd’hui. C’est à lui que tu devrais donner des conseils, je pense. J’aime cent fois mieux être dans mon actuelle position que dans ses culottes de millionnaire sous enquête (même si elle est étouffée et cachée par nécessité).

« Je vous souhaite une bonne santé et l’arrêt de ce HM à vous et votre proche famille. »

Ça monsieur je lis ça comme des menaces détournées. Vous ne semblez pas comprendre du tout, encore, Paul. Je crois que les trois phrases que vous avez citées on vous les a extraites, sur mesure, pour introduire votre message provocateur, et que vous n’avez pas lu mes articles.

Ha, on peut menacer ma famille proche, ils sont déjà bien au courant. Ils savent de quoi les « chiens sales » sont capables. Partout. Mes enfants n’ont pas peur du harcèlement moral ni de mon pervers. Ils savent ce que c’est, clairement, et que mon pervers est fini, lui pis sa gang. Ce n’est qu’une question de temps et de principe de justice. Y’a beau valoir cent millions. Y’a beau vouloir faire renommer sa ville à son propre nom et prénom, un criminel tel que lui, personne ne peut plus supporter ça. On est tanné depuis longtemps, nous qui essayons de bâtir un monde meilleur, de se faire tromper par des salauds de pervers comme celui qu’on protège ici. Les gens sont irréversiblement dégoûtés d’eux! Ça Paul, c’est irrémédiable.

Le mobbing, le harcèlement moral, le bullying, Paul, la violence cachée, tout ce que j’ai vécu, bientôt, d’ici quelques années, tous les peuples vont connaitre et reconnaitre ça. Présentement les dossiers engendrés pas eux, les agents corrompus en question, pour fourrer les procédures, notamment, les spécialistes savent clairement les identifier. « Comme des bancs de poissons. » Retiens bien ça…

Charles Marsan (tvie@msn.com)

N.B. Enfin, pour répondre à votre proposition, monsieur, notez que jamais il n’a été question que je me sauve de quoi que ce soit. Comme dans la chanson de Daniel Boucher La patente : « Ou ben tu t’rends […] Ou tu d’défends! » Surtout depuis que je sais de quoi il retourne. Ce n’est pas moi qui vais me sauver, Paul, mais cette coalition de sales cons!

En passant, avez-vous entendu parler du nouveau livre : Objectif zéro chien sale (la version québécoise de : Objectif zéro sale-con). Pour nous au Québec zéro sale con ça faisait quétaine. Or les Français on remplacé l’expression par : zéro chien sale, parce que c’est bien de ça qu’on parle. L’auteur est un lettré de haut niveau, un professeur universitaire Français, or il prétend qu’il est capital pour faire comprendre le phénomène que l’on emploie des mots qui font connotation avec la réalité : de vrais « chiens sales », justement. Et leur règne est terminé, leurs comportement de meutes, leurs manières de menacer et de détruire les individus se trouvent enfin révélées. La guerre au harcèlement moral est bien entamée et c’est un processus irréversible. On n’a qu’à observer et tout est clair comme de l’eau de roche. C’est le droit de parole qu’on travaille, aujourd’hui, enfin. Je peux dire ce qui est arrivé, maintenant, tout simplement parce que je comprends. Dans le harcèlement moral tout est agi pour que jamais on ne comprenne rien. Nécessairement.

Parlant compréhension, comment se fait-il que le livre : Objectif zéro chien sale soit dans les ordinateurs de la bibliothèque nationale depuis des mois, mais introuvable. Alors que toutes les librairies en ont reçu, partout. Ce doit être l’étiquetage… Tu sais mettre le petit collant sur le putain de livre! Ça c’est une affaire de 66 jours au moins! À moins qu’un pervers associé soit dans la boite pour obstruer le processus. Je vais le lire le mois prochain, alors. Mais je vais le lire, ça c’est sûr.

samedi 27 octobre 2007

Harcèlement moral pervers au Québec

Suite à la publication des articles de mon blogue j'ai reçu quelques très beaux messages de victimes de harcèlement moral sur ma boite de courriel. Cela me fait un immense plaisir, merci infiniment. Être conscient qu'on n'est plus seul représente une étape très importante du processus de transformation qui a lieu chez les résilients. Je vous laisse, ici, un de ces messages qui démontre que le harcèlement moral (HM) est un phénomène qui touche, aussi, concrètement mes semblables :


From: xxxxxx@yahoo.ca
To: tvie@msn.com
Subject: J'en suis moi aussi...
Date: Fri, 14 Sep 2007 08:23:53 -0400 (EDT)


Bonjour M. Marsan,

Votre texte m'a bouleversée ce matin. C'est un des écrits les plus lucides et vibrants que j'ai lu sur ce fléau depuis un bout de temps. Je suis moi aussi une cible de Hpsy au travail, et ce, depuis 1997. Je suis tout à fait d'accord avec vous pour décrier le manque de ressources, et l'abandon sauvage de la société dans laquelle on évolue, des cibles de Hpsy qui ne cessent d'augmenter...

Je fais partie d'un forum de soutien québécois sur Yahoo depuis 2005. Nous échangeons beaucoup, mais nous avons une force de frappe nulle face au système (CSST, CLP, CNT, SYNDICATS de tout acabit, psychiatres, médecins froussards et j'en passe). C'est déjà un plus dans mon existence de pouvoir échanger avec des personnes (extraordinaires de surcroît!), briser l'isolement et chercher réconfort quand la game se joue dur.

Je suis en processus d'arbitrage actuellement. Les choses s'annoncent très difficiles. J'aimerais militer tout comme vous, mais j'ai une vie désorganisée (conséquences, vous vous imaginez bien) ou plutôt une survie très précaire.

Comment s'organiser? J'ai réfléchis, ainsi que d'autres cosinistrés, maintes fois à la question : médias, manifestations, pétitions, rencontres politiques, etc.

Faut voir...

Je vous invite donc à communiquer avec moi.

Bonne journée


Réponse:

Bonjour à vous,

Si vous saviez le plaisir que cela me fait de recevoir des courriels comme le vôtre. Cela me touche profondément. Moi qui me croyais seul dans cette situation « insurmontable ». Pour résumer, disons que je suis allé voir pas mal tout l'monde après avoir lu le livre de Dr Hirigoyen :

Le barreau du Québec, la commission des droits et libertés de la personne, l'office des professions, le commissaire à la déontologie policière, le protecteur du citoyen, la ligue des droits et libertés, mais sans succès malheureusement. Mon pervers et ses complices avaient les bras très longs et rien ne résistait à leur influence. Nécessairement!

Cependant, les choses ont un peu changé pour moi. Je me suis défendu seul dans une cause criminelle que j'ai portée en appel. Une cause scandaleuse remplie d'actes de corruption. Or, je crois que les faits qui sont ressortis ont amené le juge à ordonner de faire cesser le HM contre moi sans que cela n'ait été dit ouvertement. C'est comme si tout avait changé. Ils comprennent, je crois, le danger de la patate chaude qu'ils ont dans les mains et cela ne leur plait pas du tout. Ils savent que j'ai raison et que je ne suis qu'une victime d'un complot orchestré par un puissant pervers, tel que décrit, depuis 30 années.

J'aimerais bien vous rencontrer, vous êtes de Montréal?

Y a-t-il beaucoup de victimes sur le forum en question?

Sur votre forum, y a-t-il un lien vers mes articles?

Je suis maintenant déménagé à Montréal avec un super bon gars qui ne me nuira pas. Je me sens en sécurité malgré le fait que je sois dans une situation assez précaire. Je suis actuellement étudiant à plein temps en rédaction... d'où ce plaisir d'écrire. Je n'ai qu'un seul désir maintenant et c'est de faire connaitre le harcèlement moral pervers au Québec.

Le fait de pouvoir exprimer les souffrances passées représente pour moi un exutoire formidable.
Ce serait un plaisir de vous compter comme membre de mon Association. On a beaucoup de pain sur la planche [...] vous savez!Au plaisir,

Charles Marsan

Date: Tue, 18 Sep 2007 08:03:35 -0400
From: xxxxxx@yahoo.ca
Subject: RE : RE: J'en suis moi aussi...
To: tvie@msn.com

Bonjour Charles (puis-je?)

J'ai eu vent que d'autres membres de notre forum étaient en contact avec vous. Il serait question d'une rencontre à plusieurs? Quant à notre forum, nous sommes une trentaine environ (pas certaine), certains sont actifs d'autres sporadiques. Nous sommes de partout au Québec et celle qui a mis sur pied cette grande famille est une amie, Marie-Josée Cordeau, qui a écrit un livre (un témoignage de sa propre histoire).

Dans mon cas, ce qui m'a ouvert les yeux a été le livre de Isabelle Nazare-Aga, puis celui de Mme Hirigoyen (comme bien des cibles d'ailleurs), enfin celui de Marie-Josée qui m'a conduite à ce forum. En ce moment, mon employeur me fait du trouble depuis quelques années parce que j'ai osé porter plainte de Hpsy contre mon patron et ses sbires (car j'ai vécu du mobbing aussi). Dans la sphère personnelle, je dirais que j'ai aussi subi les assauts du père de ma fillette, un pervers narcissique infatigable. Je crois que je possède un profil de personnalité qui attire ce genre de vampires de l'âme, quoi que maintenant je me soigne! (alors, ils passeront peut-être leur chemin...)

Ce que me fait subir mon employeur est assurément la pire expérience de mon existence (j'ai plus de 40 ans). Je suis très peu soutenue dans mon entourage. Les amis et parents se fatiguent ou ont peur pour moi, évidemment.

Pourquoi ne pas faire partie de notre forum?

Si je puis me permettre, quelle est donc cette cause criminelle à laquelle vous faites référence? Avez-vous gagné votre point?

Salutations et bon courage


Réponse:
From:
Charles Marsan (tvie@msn.com)
Sent:
September 18, 2007 1:42:57 PM

Bonjour madame,

Quel plaisir de lire ces informations. Je vous entends très clairement. On peut être plusieurs à cette rencontre si vous voulez. On peut prendre un café informel, où et quand vous pouvez aussi. J'habite près du plateau, près de l'UdeM et du centre-ville de Montréal. Mon statut est précaire, certes, mais je suis toujours
positif et surtout disponible.

J'ai lu le livre de Marie-Josée et l'ai vu et revu présenter son cas sur le canal Savoir en 2006. L'un des partages qui m'a le plus touché est celui de madame Élizabeth Buckspan, durant la première émission de ces
4 heures de télé, sur la question du Hpsy. Sa manière de présenter la réalité du harcèlement moral, sa crédibilité, la persuasion de son discours, ont été pour moi : inestimables. Lorsqu'elle répond aux questions à la fin et dis : [...] mais, ce serait se tromper de logique ; le but du harceleur est de détruire la cible [...] elle dis ça comme d'une évidence. J'adore, lorsqu'elle mentionne que : « les cibles sont souvent en danger de mort ». Voyant ces informations divulguées à la télé publique, j'avais la certitude qu'enfin : « j'étais SAUVÉ ». Les arguments économiques qui y sont présentés, aussi, sont irréfutables! Le harcèlement moral coute plus d'un milliards de dollars par année, dans chaque pays important. Allons. Réveillons-nous!

Je ne connais pas encore le livre de Isabelle Nazare-Aga. Je vais le chercher à la grande bibliothèque. Je viens de prendre possession du récent livre de Jean-Paul Guedj, publié chez
Larousse en 2007 : La perversité à l'oeuvre (Le harcèlement moral dans l'entreprise et le couple). Il distingue, notamment, les fausses des vraies victimes de HM. Chacun de ces livres représente, pour moi, un outil de désarmement de mes adversaires. Un pas de plus vers la lumière... Ça fait cliché de le dire : la vérité.

Je suis, comme tu le dis pour toi, une cible idéale pour les vampires de l'âme. La raison étant, c'est bien entendu, le manque d'estime personnelle ajoutée du fait de notre incommensurable besoin d'amour. C'est pour ça que nous sommes devenus des bonbons pour ces pervers. C'est la beauté de notre coeur et la bonté de nos actes qui a dérangé le plus ces gens. Mais, cela ne change en rien la cause que tu vas défendre prochainement, je sais. Saches que, si tu as besoin d'aide, je suis là. Moi, Charles Marsan. Je suis en mesure de te supporter dans ta démarche. Je n'ai aucune peur de tes adversaires.

Y a-t-il un lien entre tes oppresseurs au travail et le Hpsy par ton conjoint?

Pour répondre à ta question, disons que la dernière affaire criminelle (dans tous les sens du terme) qui a été entendue concerne une accusation d'avoir proféré des menaces de mort contre un membre de ma famille le 26 novembre 2004. Ce dossier, où j'ai été foutu en prison en deux minutes et perdu tous mes liens avec, entre autres, mes biens les plus importants et tout ce que j'avais sur moi, avait été effacé dans les ordinateurs du greffe criminel en 2005 et c'est moi qui, malgré les entraves, l'ai fait remettre au rôle à l'été 2006. Le pervers détenait un mandat d'arrestation, utilisable contre moi n'importe quand, suite à cette affaire. Il m'avait déjà fait arrêter, un matin en sortant du restaurant chez Carlos à Candiac, moins de 24 heures après que j'aie affirmé à des témoins que j'allais poursuivre ses héritiers s'il venait à partir. Il faut comprendre que mon agresseur utilisait, alors, la justice comme d'un outil disponible pour ses fins personnelles. Je voulais donc faire cesser cette situation réellement menaçante. Bref, cet accablant dossier calomnieux représentait une série d'abominations orchestrées par mon harceleur pour m'empêcher de me défendre et me relever à cette période décisive (fin 2004). Il sera évident, qu'il s'agissait, là aussi, d'une tentative d'enlèvement, par cette accusation bidon, dans le but, principalement, mais non uniquement, de m'empêcher d'aller en appel dans le dossier (2002-MSTP-4978) contre la GRC. J'aurais préféré avoir un autre intimé à poursuivre, admettons, mais ce n'est pas moi qui ai décidé ça.

Cette dernière affaire avait été mise au rôle à la Cour d'Appel du Québec pour une audition le 13 décembre 2004 à Montréal suite à mon acquittement. Le pervers, dès qu'il a su cette date, que j'attendais patiemment, a frappé un de ses plus grands coups. Toute la putain de cavalerie s'est alors présentée sur le terrain contre ma personne. Des citoyens, des amis(es), des clients(es), la police, ma famille... Tous ont participé. Un
mobbing généralisé comme dans les pires cas! Une affaire vraiment traumatisante. Toute cette importance, à posteriori, cela peut être flatteur, mais au moment de son exécution, sauvage, je vous jure que ça brise totalement l'âme. Ils ont presque réussi, même, le 24 novembre 2004, à m'empêcher de prendre possession de l'avis d'audition le matin que l'huissier devait me le transmettre. J'étais alors sur le carreau ; forcé par mes adversaires à me retrouver à la rue! Il est aisé, avec le recul, de comprendre que je ne devais pas aller à ce procès. Réagir comme je l'ai fait c'était me confronter ouvertement à la haine collective. Cette violence fait partie du leitmotiv des pervers narcissiques. Mon affaire en est une qui devait s'exécuter en mon absence et j'insiste sur ce fait.

Dans cette première cause pour trafic de drogue qui a été initié par la GRC en novembre 2002 (un des pires scandales de toute mon histoire), j'ai obtenu l'arrêt des procédures le 8 septembre 2004 en première instance au palais de justice de Longueuil. Cela, quelques instants après avoir informé le juge Dennys Noël que je me représentais seul dans ce dossier. Je suis en mesure de croire, malheureusement, que si j'avais eu un avocat pour me représenter ce matin-là, la Couronne aurait poursuivi cette attaque jusqu'à me faire condamner avec ce scandaleux complot pour restreindre mon commerce. Avec ce FAUX! Kit à faire nommer mon avocat sous-ministre de la justice suite à sa collaboration.

Après cette surprenante ordonnance d'arrêt des procédures, je voulais faire rouvrir cette affaire pour demander réparation des pertes encourues. J'avais la preuve qu'il s'agissait d'une fausse preuve, basée sur des factures fabriquées de toutes pièces, de fausses déclarations et de faux témoignages sous serment [...], mais ce fut contesté par la couronne pour le motif que je devais présenter l'appel en Cour Supérieure, puisqu'il s'agissait d'une accusation par procédure sommaire, et non en Cour d'appel du Québec comme je l'ai fait. Bref, on a rejeté ma requête pour une histoire de compétence des tribunaux. Mais, voyons-le, c'est la gravité des moyens utilisés et des actes commis qui, aujourd'hui, sont devenus mes plus importants obstacles. Je dis avec certitude que : GAME IS OVER et demande où est la sortie, mais je dois passer tout le dossier dans la porte avec moi! et [...] Ça, c'est plus compliqué.

Je me défends, ainsi, seul, depuis septembre 2003. De toute manière, je voyais que personne ne pouvait m'aider en plus du fait que je ne comprenais pas qui exactement était mon adversaire. Dans les faits, qu'importe où je me présentais, on savait qui j'étais et rien ne fonctionnait. Je vous le dis : RIEN. L'autobus qui passe 2 minutes avant son temps, les services publics fermés en plein après midi, name it, rien ne fonctionnait. La prise de conscience (souffrance) que cet horrible rejet social provoque, et qui fait parti du plaisir du harceleur, est ce qui devient le plus difficile à supporter. Peut-être qu'aujourd'hui ce serait possible d'être aidé, faudrait voir, mais ce n'était certainement pas le cas à l'époque. Se défendre c'est bien beau, mais encore faut-il savoir : qui nous agresse? Cela est capital dans ma cause. Je n'avais aucune manière de savoir qui orchestrait tous ces crimes contre moi et mes biens. Il est évident que personne ne pouvait imaginer le pouvoir et les intentions de mon pervers narcissique. Imaginez, moi! Encore moins. Jamais je n'aurais pu penser qu'un vieux comme lui, un politicien que je considère minable, illettré et inculte, puisse fourvoyer tout l'État qu'avec des mensonges crapuleux, du cash et des offres de promotions politiques... JAMAIS! C'est comme deviner que l'armée américaine est dirigée par Gilligan sur l'île des joyeux naufragés. Une absurdité inimaginable!

Mon dossier, lorsqu'il sera analysé, globalement, selon un mode contradictoire, représentera un exemple parfait de l'ampleur et la malignité que le harcèlement moral avec mobbing peut atteindre au Québec. C'est le fait que je ne connaissais pas la doctrine, et que j'avais l'assurance, surtout, que les autorités étaient sans conteste de bonne foi dans mon pays, qui a fait en sorte que les évènements se sont empilés et diversifiés, tellement qu'il faudrait être vraiment débile pour ne pas y reconnaitre un cas typique et grave de HM pervers par un responsable très facilement identifiable.

Oui j'ai gagné mon point! Et cela ne fait que commencer. Depuis, il n'y a plus de harcèlement violent contre moi et j'ai accès à Internet, l'université, je reçois des prêts et bourses comme un étudiant normal! On voudrait bien, je le vois, que je tourne la page, que je profite maintenant de ma vie -- je suis encore jeune -- mais je sais qu'il y a matière à réparation dans mon cas, sans compter le fait que mon dossier est en mesure de faire jurisprudence au Québec et ainsi aider d'autres victimes en faisant connaitre les injustices sous-jacentes à ce fléau.

La seule chose que je crains c'est d'être encore infiltré par des gens qui ont des intérêts opposés au mien. Le harcèlement m'a fait devenir très sensible au moindre soupçon d'intentionnalité (mal). En plus du fait que, ne l'oublions pas, l'enjeu est devenu très important.

Au plaisir alors,


Charles Marsan


Liens :

Article intitulé : «Petits meurtres entre amis»

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Le harcèlement individuel (type de harcèlement dont j'ai été victime)

Il est dit que le harcèlement individuel est pratiqué par une personnalité obsessionnelle, perverse narcissique, porteuse d'une pathologie du caractère. Il est intentionnel, vise à humilier, détruire l'autre et à valoriser son pouvoir social ou personnel. L'instrumentalisation des individus et des instances par ces personnalités retarde ou rend impossible la reconnaissance des agissements délictueux, tant leurs procédés peuvent être hostiles, subtils et redoutablement efficaces, surtout face à des individus fortement investis dans leur métier. (voir PERVERSION NARCISSIQUE)


Lutte contre le harcèlement moral au travail
- texte complet (jeudi 25 aout 2005).

Prévenir et gérer le harcèlement moral au travail (HMW) Marie-France Hirigoyen, psychiatre et psychanalyste.
Conférence prononcée dans le cadre des conférences - compétences de la Chaire en gestion des compétences, ESG, UQAM Le 2 mai 2005.

Entrevue radiophonique de 20:15 minutes donné par Marie-France Hirigoyen, animée par Marie-France Bazzo, le 12 Mai 2003 à la
radio de Radio-Canada dans le cadre de l'émission : Indicatif présent. (excellent)

Site de la Commission des normes du travail est chargée de l'application de la Loi sur les normes du travail.

HARCELEMENT MORAL STOP (HTML)

Paul ARIES, Harcèlement moral ou nouveau management, éditions Golias, 2002 ( Présentation ) Les racines du harcèlement (La voix du nord)

Les conflits sociaux liés au harcèlement moral se multiplient

Stratégies d'adaptation et conséquences sur la santé des travailleurs et des travailleuses. Ada GARCIA, Bernard HACOURT et Virginie BARA. Harcèlement moral et sexuel

Le nouveau dispositif contre le harcèlement

Le harcèlement moral de nouveau impuni dans les faits
Par Roland Muzeau et Guy Fischer et Michelle Demessine - 11 Décembre 2002

Harcèlement moral, nouveau mal lié à l'organisation du travail? La violence au travail peut être aussi de nature psychologique. En Europe, le harcèlement moral fait partie des nouveaux maux des travailleurs. Un phénomène encore traité sous ses aspects individuels, alors qu'il est souvent lié à l'organisation du travail. Anne Renaut (Journaliste)
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Université du Québec à Montréal, Colloque « PREVENIR LE HARCELEMENT PSYCHOLOGIQUE AU TRAVAIL : UNE QUESTION DE SANTE ET DE COMPETENCES… » 1er juin 2005 « Le harcèlement moral au travail, entre éthique et économie » par Elisabeth BUKSPAN, Honorary Research Officer, Université de Londres, Chercheur associé au Groupe d'Analyse des Politiques Publiques du CNRS, France inspecteur général des finances, france.
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Les prochaines télédiffusions de cette conférence donnée par madame Élizabeth Buckspan, seront présentés les jeudis : 1er, 15 et 29 novembre 2007 (à 1:00 AM); et les dimanches 4, 18 novembre et 2 décembre prochain (à 7:00 AM) sur le Canal Savoir. Moi, cette conférence a changé ma vie... (à voir et écouter surtout, pour ceux et celles qui veulent mieux comprendre le harcèlement moral).

HARCELEMENT MORAL : un nouveau livre sur ce SCANDALE du SIECLE !
Le harcèlement moral
Ariane Bilheran

Armand Colin - 08/07/2004
13 x 18 - 128 pages
ISBN : 2-200-34560-7

Résumé :

Le harcèlement moral on connaît. Les best-sellers de Marie-France Hirigoyen sont passés par là. Le travail de la psychologue n'a pas seulement marqué le monde de l'édition, mais le législateur s'est saisi du problème et aujourd'hui une loi permet aux victimes de demander réparation. Mais jusqu'ici, les choses étaient plutôt basiques. Un gentil harcelé souffrait des maux que lui infligeait un méchant harceleur. Et voilà qu'une autre psychologue complique le problème pour mieux l'éclairer. Dans son ouvrage, Ariane Bilheran démontre que le harcèlement peut être une maladie collective, que de nombreux bourreaux peuvent agir inconsciemment ou que, lorsqu'ils agissent seuls et délibérément, ils peuvent parfaitement avoir des complices en interne qui le soutiennent sans même en avoir conscience. Des témoins passifs qui ont un rôle certain dans le terrible processus mis en place autour de la victime. Des témoins complices qui n'ont absolument pas le sentiment de mal agir, mais qui, par un bon vieux réflexe, se rangent du côté du plus fort, un phénomène observé et disséqué de longue date. " J'ai pensé le harcèlement comme un fait de société, comme d'autres avant moi l'ont fait, concède Ariane Billheran. Mais aussi, ce qui est plus nouveau, comme une véritable pathologie individuelle et collective ". Serions-nous tous des harceleurs potentiels ? La psychologue relativise en expliquant qu'il y a des schémas psychiques assez précis pour tomber dans ce monstrueux panneau. Des schémas que les victimes peuvent enfin comprendre sous un jour nouveau.


Alain Noury : LE HARCELEMENT MORAL

Les liens vers d'autres sites traitant de ce problème :

Le site de Thierry Demorand;
Pétition contre le HM
Site de l'Association Contre le Harcèlement Professionnel (
A.C.H.P);
Association
POIL DE CAROTTE : Association luttant contre le harcèlement moral dont les victimes sont des enfants !!!

Pour faire une recherche sur le HM (une victime offre des liens)

Site consacré aux fausses rumeurs véhiculées en particulier sur le NET

Pascal Froissard fait partie des
spécialistes des rumeurs pour cesser de se faire berner!

Le best seller qui a présenté le HM pour la première fois (traduit en 27 langues) Marie-France Hirigoyen. "Le harcèlement moral". La violence perverse au quotidien. Coll. Pocket Christine Strohl-Grün
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Autres ouvrages sur le harcèlement moral (voir le site de l'
Association Mots pour Maux au Travail pour des liens vers ces auteurs) :

Ch. Dejours : Le facteur humain
Ch. Dejours : Travail, usure mentale
Ch. Dejours : Souffrance en France
Dejours, De Bandt, Dubar : La France malade du travail

M-F. Hirigoyen : Malaise dans le travail,
démêler le vrai du faux

D. Lhuilier : Placardisés, des exclus dans l'entreprise

C. Damiani : Les victimes,
violences publiques et crimes privés

J-P. Le Goff : Le mythe de l'entreprise
J-P. Le Goff : La démocratie post totalitaire

J-P Bonafé-Schmitt : La Médiation

C. Sari : La médiation interne à l'entreprise

Boltanski et Chiapello :
Le nouvel esprit du capitalisme

Editions Sciences humaines :
Les organisations; État des savoirs

Revue Travailler :
Violence et Travail

Cliniques Méditerranéennes :
Psychopathologie du Travail

à suivre [...]



Je vous laisse ici.

La prochaine chronique portera sur ce livre :

Objectif Zéro sale-con

Il y a aussi une version pour québécois :

Objectif : Zéro chien-sale


Au sommaire :


Les sales cons (chiens sales) au travail :
en quoi ils sont nuisibles et pourquoi ils prolifèrent

Les ravages des sales cons (chiens sales) :
de la nécessité de l'Objectif zéro-sale-con

Adopter, appliquer et pérenniser
l'Objectif zéro-sale-con (chien-sale)

Comment maîtriser le sale con
(chien sale) qui est en vous

Quand les sales cons (chiens sales)
sont au pouvoir :
la trousse de survie

Les sales cons (chiens sales) ont aussi leurs vertus

L'Objectif zéro-sale-con (zéro-chien-sale) :

un art de vivre

  • Je lis ce livre et vous reviens, promis.
  • La boucle est presque toute bouclée...

Au plaisir,
Charles :)